Membre fondateur du FCN.
Malheureusement, cette « trilogie » en titre est flagrante et constante aux yeux de tous. Et elle est née d’un « hasard » qui n’existe que pour ceux qui ignorent les règles subreptices des « pugilats » de barbouzes de l’ombre. Ou pour être simpliste, pour ceux qui ignorent les lois souterraines, factices et spéculatives de la nature « politique » humaine, surtout occidentale, depuis la nuit de la décolonisation française des territoires d’Afrique, spécifiquement celle du nord et de l’Algérie en particulier.
En fait, en parlant de barbouzes, s’il y avait une suggestion (et non une critique) à faire à Lyes Laribi, – auteur du livre « du MALG au DRS. Histoire des services secrets algériens » (éd. Hoggar 2011) – elle aurait été celle d’une temporisation du timing de l’édition de son ouvrage en question pour le reporter ultérieurement. Pour quelles raisons ?
Car d’un côté, tout écrit « chronologique » dans un sens d’investigation et d’intelligence aurait été amplement enrichi par le feu de l’action des derniers évènements importants survenus sur la scène maghrébine et arabe, lesquels s’enchainent à la vitesse de la lumière et qui impliquent indubitablement de près ou de loin des services secrets de tout bord, plus spécifiquement et de manière indéniable, les services algériens et leurs « mentor » qui « naviguent » très mal en « submersible » et à contre courant d’un vent de « liberté » qui touche le monde arabe depuis « officiellement » fin 2010.
Entre autre, ce serait supposément un report qui vaudrait la chandelle ! À cause de la levée du secret des archives militaires français en 2012 pour la période (48/62) qui relate expressément en « détail » toute la durée de l’insurrection algérienne. Une période de mise sous scellé motivée immanquablement par l’appréhension du lot d’information « croustillant et exclusif » issu d’un sujet épineux sur lequel la France possède seule jusqu’à ce jour, toute l’expertise en la matière, puisque sa 5ème république (et « sa 5ème colonne en Algérie ») en avait été la résultante paradoxale directe de cette période collatérale algérienne fallacieusement escamotée par une indépendance confisquée.
Depuis l’amendement de cette loi malaisée et de l’aval tant retardé par les « dinosaures nostalgiques gaulliens » du sénat français, beaucoup d’historiens et d’intellectuels des deux rives de la méditerranée à l’image de Harbi ou Stora, attendent ce moment avec impatience pour combler finalement certaines pièces manquantes du « puzzle » insurrectionnel qui demeure ambigu et par lequel ils espèrent déboucher sur une ultime position tant souhaitée et partagée de la lecture irrévocable de cette histoire tumultueuse algérienne, laquelle n’a jamais été corroborée et finalisée, et de surcroit tragiquement, continue encore de s’écrire à ce jour de manière singulière.
Parce qu’également et sans nul doute, la réelle problématique en particulier de l’écriture de l’histoire authentifiée du chapitre insurrectionnel – et de l’histoire d’Algérie en générale – demeure encore aujourd’hui plus que jamais au cœur de la légitimation du pouvoir politique et par ricochet du choix constitutionnel du peuple algérien pour son modèle de société dans une nation républicaine « adulte » réellement souveraine et démocratique.
Même si demain le pays en aurait fini avec son passé agité, de ses anciens maîtres, barbouzes et militaires, l’antécédent arbitraire et traitre, lui, n’en aurait guère fini avec l’Algérie et son ex métropole, jusqu’à l’établissement avéré des vérités indignes et commotionnelles de ses dernières 60 années ténébreuses de son histoire contemporaine.
D’ailleurs, à ce sujet, la sénatrice Zohra Drif, grande figure du nationalisme et de la révolution algérienne livrait un « lapsus » lourd de sens dans la presse nationale en 2010 : « La France n’en finira jamais avec son passé algérien. Que les choses soient claires. Ce bilan doit être fait. C’est une dette imprescriptible que nous avons tous collectivement vis-à-vis de toutes celles et tous ceux qui ont donné leur vie pour libérer notre pays. Mais ce bilan sera fait par les Algériens et pour les Algériens. De mon point de vue, ce bilan nous avons jusqu’au 5 juillet 2012 pour le faire entre nous. De façon honnête, rigoureuse et transparente. Nous le devons aux sacrifices des nôtres et au peuple algérien. Et à personne d’autre.».
Tout semble se diriger vers cette année 2012 de tous les périls pour l’exhumation finale et intégrale de ce « cadavre insurrectionnel » du placard franco-algérien. Ce sera le dernier coup de baroud de cette révolution algérienne que nul n’a osé tirer pendant un demi siècle au sein du « gynécée » sous peine en réalité de faire dégringoler le « mastodonte » de sous traitance aux pieds d’argile qu’est ce DRS grabataire et maffieux avec sa « doctrine d’omnipotence révolutionnaire et paternaliste », maintenant en otage son « propre corps » et la totalité du pays depuis 1962 dans une omerta protégée par un « vernis » de couleur vert « Lacoste », et gare à celle ou à celui qui hasarderait de décaper ne serait ce qu’un zeste de cette couche opaque, laquelle avait déjà laissée sur le carreau de vaillants patriotes, justes et téméraires, exécutés par sa toxicité meurtrière.
En attendant, la technologie de l’information avec ses « armes » furtives et silencieuses présentera dans un proche avenir l’imbroglio algérien sous toutes ses coutures, surtout avec l’instauration de la bande 3G dans le nouvel paysage « mobilo-médiatique », toujours et encore en 2012, pour titiller et « tweeter » ce qui reste encore comme fibre patriotique dans ce pays martyrisé.
Les fusils de chasse d’antan de 1954 ont laissé la place depuis belle lurette aux drones et aux virus de tous genres dans un combat « cybernétique » ponctué d’un terrorisme télécommandé et « résiduel » partout dans le monde, dépassant tout entendement « onusien » des « intelligences » les plus averties, excepté celle du DRS algérien qui avec son excès de zèle maladif tire encore de plus belle sur ses pieds encore attachés avec des câbles reliés à l’hexagone d’Éon, le machiavel de tous les temps.
A.By
16 comments
Salem à tous, merci chèr compatriote, excéllent!
Une petite question me taraude, est ce que leurs archives qui représentent notre « VRAIE HISTOIRE », n’ont pas tout simplement été « NETTOYE » pour nous maintenir encore des décennies dans l’obscurantisme absolu?
la sénatrice Zohra Drif, grande figure du nationalisme et de la révolution algérienne??????????????.Ana3lou Bliss !!!!!
Bonjour,
En Afrique,il y a deux grands pays,l’Afrique du sud et l’Afrique du nord . L’Afrique du nord veut dire tout simplement l’Algérie . La France qui connait bien nos potentiels,fait tout pour éviter l’émergence d’une grande nation en Algérie . Le maintien au pouvoir de ces médiocres qui nous gouvernent depuis 50 ans est voulu . La France fait tout pour les maintenir car elle considère qu’une Algérie saine et développée est une menace pour l’ancienne puissance coloniale .
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Evitons cette vision méprisante de nos voisins, si chère au boukharoubisme. Le Maghreb ne sera fort que par l’union de tous les pays le constituant, sans exclure aucun.
Salah-Eddine
ca devient serieux… c’est bien… faut le dire le haq…sinon y aura un autre 11 septembre et vous devrez attendre encore 10 ans avant de pouvoir renverser les traitres ….
L’arrivée d’une entité réelle non cosmique et non messi(que):la révolution des peuples arabes dans le système.
La fin du bail indéterminé de la ciquième colonne et les connexions entre ÉON le françaIs et le crétin DRS algérien.
bonjour salah eddine,
l’Algérie est un géant sous anesthésie . Cette réalité n’a rien de choquant ni de provocateur . Avec plus de 2 millions de KM2 de superficie,avec notre jeunesse et nos réserves en énergie,nous sommes logiquement un grand pays . Cette grandeur profitera aux algériens et au Maghreb unis . Ce Maghreb a besoin de locomotive,l’Algérie et le Maroc,la main dans la main conduiront le Maghreb vers le progrés et la stabilité . L’union maghrebine ne devrait pas réduire les ambitions d’un grand pays comme le notre . Le régime en place à Alger a réduit nos ambitions au point où de petits pays comme le Qatar se permettent de venir à nos frontières gratter sur nos champs diplomatiques . La politique cher salah eddine ,c’est aussi la capacité des hommes et des femmes politiques à réveiller chez leurs compatriotes l’amour du pays et le désir de le porter très haut .
@ — A.By :
Merci pour ce recadrage. Encore que, de mon point de vue strictement personnel, celui qui nous sert de Chef d’Etat, a fini par avoir pour lui tout seul, l’exclusivité du volet « Fafa », le DRS – à travers ses chefs – s’impliquant davantage quant à lui au service de la centrale de l’Empire.
Je vois d’ici les rictus de mépris, exprimés par les gens de l’Africom et autres Otan, à l’endroit de nos pauvres dirigeants – cravatés ou galonnés – quand ils tiennent leurs réunions de coordination….
Dieu merci, il y a toujours – et pour longtemps, longtemps – ce vent de l’Histoire qui continue de souffler sur nos régions et qui ne fera de quartier à personne.
Le 17 Sep est passe sans nouveau aucun. Deux questions s’impose:
1- Est ce que la campagne a double tranchant de l’appel a une révolution et en même temps le contre appel a ne pas sortir n’est pas plus qu’un ballon d’essais de l’état d’esprit de la population?
2- Est ce qu’il y a affrontement secret entres clans diabolique en conflit d’intérêt et avortement a la dernière minute de tels opérations de fausse revolution pas peur de sortir ses pions acteurs et les exhiber en hors jeux?
Allah alam !
l’Histoire pour un Peuple est comme les racines d’un arbre: plus les racines sont solides plus l’arbre resiste aux tempêtes. Mais l’arbre ne passe pas son temps à regarder ses racines! le Peuple aussi ne doit pas faire de son pasé son sujet de prédilection. Pour avancer le bon chaufeur ne regarde son retroviseur que par de simple coups d’oeil sans trop s’attarder. il doit fixer le chemin qu’il doit parcourir et ne plus penser au chemin parcouru… Malheureusement, le passé est devenu notre unique préoccupation tout simplement parce que le pouvoir tire sa légitimité de l’histoire pour ne pas dire des historiette… La France y trouve son compte. Pauvre peuple algérien, il n’est pas et ne sortira jamais de cette guerre qui lui a empoisonné son passé et qui lui empoisonne son present et son avenir.
l’Histoire pour un Peuple est comme les racines d’un arbre: plus les racines sont solides plus l’arbre resiste aux tempêtes. Mais l’arbre ne passe pas son temps à regarder ses racines! le Peuple aussi ne doit pas faire de son passé son sujet de prédilection. Pour avancer le bon chaufeur ne regarde son retroviseur que par de simples coups d’oeil sans trop s’attarder. il doit fixer le chemin qu’il doit parcourir et ne plus penser au chemin parcouru… Malheureusement, le passé est devenu notre unique préoccupation tout simplement parce que le pouvoir tire sa légitimité de l’histoire pour ne pas dire des historiettes… La France y trouve son compte. Pauvre peuple algérien, il n’est pas et ne sortira jamais de cette guerre qui lui a empoisonné son passé et qui lui empoisonne son present et son avenir.
@ Mr. Dehbi
Entièrement d’accord avec votre point de vue personnel concernant l’exclusivité temporaire du dossier de « fafa» piloté soit disant par Bouteflika. Mais aux yeux de Toufik, je dis bien Toufik et non le DRS, c’est un dossier accessoire à ses yeux, vu que la France de Sarkozy a rejoint le commandement intégré de l’OTAN et la centrale de l’empire, laquelle même protège ce Toufik comme la prunelle de ses yeux, vu que notre général avait été mis au parfum et invité du coup à assister aux premières loges au fameux carnage du 11 Septembre 2001, puisqu’il se trouvait au Pentagone ce jour là.
Un allié, mais aussi un témoin gênant que l’empire central doit protéger à tout prix dans sa fonction et dans sa future vie hypothéquée, laquelle aussi on ne sait guère comment elle va finir. On avait constaté de visu comment son ex-adjoint Smain – très « fafa » sur les bords – avait fini ses jours à Ain Naâdja. D’ailleurs, Toufik n’a jamais mis les pieds à Val de Grâce pour se soigner, ni même à l’hôpital américain de Neuilly, chose qui est interdite pour lui. Quelques sionistes « british » n’ont jamais digéré le fait qu’il y est un général arabe de renseignement, le seul d’ailleurs, à pouvoir bénéficier d’une telle confiance. Bouteflika le sait en marchant sur des œufs d’autruche.
Pensez-vous que Toufik aurait aidé Kadhafi sans l’aval américain ? Ce serait absurde de le croire.
Je ne pense pas que « la Raison d’État »(français)permettent la levée du secret des archives militaires sans formatage préalable des documents qui nuiraient a l’intérêt de la France et de ses ouailles toujours en service commandé.Je pense plutôt que cette « opération »ressemblera aux « cables » Wikileaks , c’est-a-dire des tuyaux savamment distillés, destinés a protéger et/ou promouvoir les intérêts occultes de la Métropole et des ses rejetons illégitimes auxquels elle a légué l’Algérie en héritage.
@ — M. A.By :
Vous écrivez : « »Quelques sionistes « british » n’ont jamais digéré le fait qu’il y ait un général arabe de renseignement, le seul d’ailleurs, à pouvoir bénéficier d’une telle confiance. Bouteflika le sait en marchant sur des œufs d’autruche. » »
Je ne sais pas si c’est « le seul général arabe » à avoir été convié à Washington pour assister au déroulement de la première séquence du complot du 11 Septembre. Ce qui apparaît sûr en revanche, c’est que depuis l’arrivée de Barak Obama en Janvier 2009 à la tête des Etats-Unis, ce qu’on pourrait appeler le Centre du Commandement de l’Empire, connaît quelques « perturbations ».
Une véritable « Co-Régence » de l’Empire semble avoir été mise en place par le Mouvement sioniste mondial, à travers le tandem Sarkozy-Cameron, d’obédience judaïque et sionistes jusqu’aux bout des ongles. Un tandem chargé de veiller aux intérêts supérieurs du sionisme durant l' »interrègne » de Barak Obama, qui semble avoir été récusé pour son « passé de musulman », qui plus est un musulman de couleur…C’est l’hypothèse que je viens d’exprimer sur un autre site aujourd’hui.
http://www.hoggar.org/index.php?option=com_content&view=article&id=2955:coincidence-de-dates-ou-rancune-coloniale-tenace-&catid=185:girard-youssef&Itemid=36
@ — AS :
« »çà devient serieux… c’est bien… faut le dire le haq… » »
Aurions-nous dit autre chose que la vérité sur ce site ?
LIEN DU REPORTAGE DE JB RIVOIRE SUR CANAL + : http://www.youtube.com/user/TAHIABLADI?feature=mhee
Excusez mon intervention un peu extreme:
– Le nord african, s’il parvient a etre « étudié » sur le plan genetique, on decourvira qu’il present des catacteristiques « universelles ».
Il est le melange de presque toutes les races du monde. il ne sait plus ou se donner de la tete:
Amazigh, phenicien (juif, philistin,…) Romain ( italien,…), byzantin (grec), vandale (scandinave), arabe, perse, turc, francais, espagnol.
Alors, demandez-vous si qq a cette bague magique qui ferait de nous un peuple « uniformisé »…Faudra écouter Fellag, Il se peut qu’il ait une reponse la dessus.
Personnellement, je crois que l’independance a fait plus de mal en terme civilisationnel, Comparativement a l’apport du dernier colon (les francais). L’ecole fait des abrutits. Le pouvoir mafieux fait de pirates gerant la rente petroliere et le pire encore: Les terres algeriennes devenues PROPRIETE PRIVEE de certains barons invisibles du pouvoir. Qu’a donc le petit algerien d’avant 1954? Alors et Alors???
En cette ere de mondialisation. soyons pragmatiques et voyons la verité en face, surtout pas de sentimentalisme ridicule!
Cordialement et respectueusement votre!
« Guez’zannett »(cartomanciennes)voilà ce que nous devenons au fil du temps.
Et l’on spécule sur tout,en attendant que les journaux d’en face veuillent bien nous éclairer sur le sort qui nous est réservé.Nous sommes des moutons d’abattoirs!!!!!!!!!