Algeria-Watch, 27 septembre 2011
Ghazi Hidouci est né en 1939 à Aïn-Beida, une ville de l’est algérien. Après des études d’économie, il a accompli une carrière de haut fonctionnaire et a été conseiller économique à la présidence de la République de 1984 à 1989, puis ministre de l’Économie jusqu’en juin 1991. Il est le concepteur principal des réformes politiques et économiques brutalement interrompues après le départ du gouvernement de Mouloud Hamrouche. Il a bien voulu accorder à Algeria-Watch une interview où il s’explique sur le refus du régime de lui assurer son retour en toute sécurité dans son pays, d’où il avait dû s’exiler en 1991 à la suite de menaces directes et précises émanant des premiers cercles du pouvoir militaro-sécuritaire algérien.
Algeria-Watch : Du 23 au 25 septembre, vous deviez participer à un séminaire sur les révolutions arabes organisé à Alger par une université parisienne (Paris-8) et un quotidien algérien (El Watan) ; cette participation devait vous permettre de rentrer en Algérie pour la première fois après un exil de plus vingt ans à Paris. Il apparaît que votre présence à Alger n’était pas souhaitée par les autorités. Comment l’avez-vous appris et qu’éprouvez-vous ?
Ghazi Hidouci : Je voulais aller en Algérie, interrompre un trop long exil forcé, parce que je considère, ce qui n’est peut–être pas partagé, que mon pays vit une situation très grave. Ce pays est même en danger d’intervention extérieure lourde. J’ai ressenti pour la première fois le besoin d’être là-bas et de le dire. En tout état de cause, j’ai transmis un long document sur la question, sur la situation du pays, à l’organisation du séminaire qui paraîtra dans les actes du colloque. Pourquoi ne suis-je pas allé à Alger ? Parce que j’en ai demandé l’autorisation aux services les plus concernés par la sécurité politique. Je n’ai reçu aucune réponse. Je l’ai dit dans la lettre que j’ai rendue publique. S’il existe une raison, que l’on me la confirme par écrit. Pour le reste, on pourra se référer aux propos diffamatoires à mon égard de cette feuille qui s’appelle Ennahar, ce journal arabophone dont vous connaissez la direction, les commanditaires et la réputation.
J’éprouve, bien sûr, de la tristesse à n’être pas en mesure d’entrer en Algérie à un moment où ma santé me joue des tours. Pour que ce soit clair : je me sens totalement distant de l’État algérien tel qu’il se présente et tel qu’il souhaite se reformuler. Le mieux qui puisse m’arriver est d’être avec les gens et de construire ensemble – hors de l’État – des relations sociales que nous sommes culturellement capables de tisser.
A.W : Ce qui revient sous des plumes en service commandé, depuis la fin des années 1980, est l’allégation selon laquelle vous seriez d’ascendance et de confession juive….
G.H : Cette allégation, comme vous dites, est l’expression exacte du déshonneur de ceux qui l’ont forgée. Jouer sur l’antisionisme de l’opinion pour tenter de le dévoyer dans l’antisémitisme est purement immonde. Mais cela n’a pas marché : nulle part ailleurs que dans la presse des piliers du régime on ne m’a reproché ma prétendue origine. Je n’ai jamais voulu entrer dans une controverse abjecte initiée par des voyous notoires, je sais de plus que les Algériens ne sont pas dupes. Quelle honte y aurait-il d’ailleurs à être juif ? Les juifs sont gens du Livre. Mais voilà, je ne suis pas juif, ni chrétien, ni même animiste.
Ceux qui connaissent l’histoire de mon terroir savent que mon arrière–grand-père a été expulsé par le colonialisme au XIXe siècle de la commune des Hidoussa vers Aïn-Beida, que mon grand-père a été le premier imam de la ville d’Aïn-Beida, que mon père était cheminot PPA et disciple de Ben Badis. Il en va de même pour ce qui concerne la famille de ma mère, les Zemmouchi, clan très connu de la région de Khengat Sidi Nadji, dont la mosquée tribale est toujours debout.
Cela n’empêche nullement qu’à Aïn-Beida, la ville d’où je viens, et à Constantine, où j’ai poursuivi ma scolarité, j’ai connu beaucoup de juifs, parmi lesquels d’authentiques Algériens qui ont été des amis. Mais j’ai aussi rencontré à cette époque certains juifs algériens devenus aujourd’hui amis du régime. Je les ai rencontrés comme un jeune « indigène » peut rencontrer les milices du Betar. Je ne les ai pas connus, comme ce régime et sa presse, au cours des sanglantes années 1990, en offrant à des propagandistes « éradicateurs » et pro-israéliens des séjours mercenaires et des invitations révérencielles. On a les alliés et les amis qu’on mérite… Dans la Constantine des années 1950, j’ai donc eu affaire à ces milices auxquelles appartenait, par exemple, Enrico Macias, que j’ai vu, de mes propres yeux, une arme à la main, pourchassant des Arabes. Je n’aurais pas accepté l’offense de sa visite à Constantine dans l’Algérie indépendante et je me félicite que cette visite n’ait pas eu lieu. En revanche, j’ai connu bien d’autres juifs, en Algérie et ailleurs, qui méritent la plus haute considération, toute notre admiration et notre soutien déterminé pour leur engagement, hier, au sein du mouvement de libération nationale algérien et pour leur solidarité, aujourd’hui, avec le combat du peuple palestinien.
A.W : D’après la presse algérienne, votre venue aurait été aussi motivée par le désir de retrouver vos anciens collègues de l’équipe des réformes, quand vous étiez au gouvernement de 1989 à 1991
G.H : Qui est donc cette « équipe des réformes » ? Depuis vingt ans, ils ont suivi des chemins bien différents. S’agit-il de celles et ceux qui, toujours fidèles à leurs idéaux de l’époque, affichent aujourd’hui le bonheur de se trouver en révolution arabe, comme ils avaient pu le vivre en 1990 ? Ou de celles et ceux qui s’inscrivent aujourd’hui en tant qu’hypothèses de « recours » pour un « État » en voie d’évaporation ? De ceux qui sont devenus des affairistes mondains ? Ou de celles et ceux qui ont choisi de se taire à un moment aussi critique, qui restent muets comme des carpes ?
Pour les premiers, j’aurais été certainement très heureux de les revoir. Quant aux autres, auxquels la presse fait référence, je pourrais les revoir à tout moment… Mais dois-je préciser que je ne le souhaite pas vraiment ? J’ai entendu dire que les « cahiers des réformes », qui seraient l’œuvre « majeure » de la tentative de rupture de la fin des années 1980, auraient été attribués au seul ancien gouverneur de la Banque centrale. Je tiens à rappeler que ceux qui ont écrit ces cahiers des réformes et qui ont mis en œuvre ces réformes, ce n’est pas moi, ce sont surtout, je vais les nommer : Ahmed Koreïchi, qui rédigea, entre autres textes importants, la loi sur la monnaie et le crédit ; Ahmed Henni, qui demeure le fondateur de la réforme fiscale , Ali Hamdi, décédé en 1997, spécialiste de la question des prix et des investissements , Omar Benderra, qui a géré la dette extérieure , et Fawzi Benmalek, qui était en charge du Trésor.
J’évoque ceux dont j’ai gardé le plus vivement la mémoire des noms et de l’action, mais il en est bien d’autres, cadres d’entreprises et fonctionnaires, qui, comme ceux que j’ai nommés, ont joué un grand rôle dans la définition de ces fameuses réformes, sans gestion d’image ou de fonds de commerce ni en demande de reconnaissance sociale. Autant de cadres honnêtes et compétents qui, après 1991, ont été marginalisés ou contraints à l’exil. Le pouvoir les a remplacés par celles et ceux qui peuplent aujourd’hui les rangs d’un « non-État » ne fonctionnant plus que par les prébendes et les compromissions.
A.W. : A ce propos, les élites algériennes dispersées aux quatre vents de l’exil sont-elles définitivement perdues pour le pays ? Peuvent-elles aider les Algériens à formuler une vision de l’avenir constructive et réaliste ?
G.H. Bien sur, cela peut paraitre paradoxal, mais les exilés ont peut-être eu plus de chance en étant loin de la mafia qui domine ce pays. Je rencontre souvent des Algériennes et des Algériens établis à l’étranger. Ils sont à mon avis largement disponibles, tant pour le débat politique que pour l’organisation de l’État. Il y a tant de compétences gaspillées…Et souvent tant de tristesse dans les regards de ces expatriés qu’on a le sentiment qu’ils ont été expulsés de leur propre pays. A la différence des nomenklaturistes qui planquent à l’étranger des fortunes illicitement constituées dans la honte de leur culture de naissance ou de ceux qui font carrément commerce de la stigmatisation de leur propre peuple, ces femmes et ces hommes n’ont pas renié leurs origines et nul ne peut douter de leur attachement à l’Algérie. Pour qu’ils reviennent, et en masse, il suffit d’annoncer au préalable un accord politique.
A. W. : En début d’entretien, vous évoquiez une menace directe. D’où provient-elle et quels sont les objectifs que ceux qui sont derrière cette menace ?
G.H. Dans la situation actuelle au Maghreb, l’OTAN est durablement présente en Libye, un pays qui risque de s’installer dans une logique de déstabilisation. L’Algérie, à tort ou à raison, est visée comme étant un centre de soutien actif de Kadhafi. Ce qui est sûr dans tous les cas, c’est que les Algériens de toutes catégories et les Libyens, de toutes catégories aussi, vont et viennent et se livrent à d’importantes transactions de toutes natures. Dans ce contexte précis, on évoque publiquement et par des communiqués officiels, américains notamment, l’installation durable du terrorisme en Algérie – dont le gouvernement est pratiquement absent – en particulier dans les régions sahariennes. Nous revivons toute l’opacité de la période GIA que l’on pensait close, avec de surcroît une nouvelle génération d’officiers de sécurité politique dont l’immoralité pulvérise tous les records.
Nous nous trouvons aujourd’hui face à deux scénarios possibles. Dans le premier, l’État algérien continue de gérer la situation de la manière que nous observons aujourd’hui : un gouvernement sans légitimité, équivoque dans ses rapports avec l’OTAN et sous pression directe de ses partenaires occidentaux. Si la situation actuelle en Libye devait persister dans la réalité sociopolitique structurellement déstabilisée de l’Algérie, ce gouvernement ne pourra pas éviter de devenir le supplétif de la stratégie occidentale au Maghreb. Dans une telle situation alimentée par la corruption généralisée – celle des centres de décisions à tous les niveaux et des services de sécurité – et l’arbitraire permanent, l’hypothèse d’un soulèvement récupéré infiltré et orchestré ne peut être écartée. Il s’agit là d’une menace réelle.
Le second scénario, « idyllique », consisterait en la mobilisation du peuple contre ces dangers par un gouvernement politiquement courageux représentatif et transparent. C’est la seule condition qui peut freiner l’Occident et la seule qui permette de sortir sans guerre civile d’un piège mortel. Mais j’avoue que je ne vois pas très bien, dans l’état où se trouvent les « décideurs » et les courants politiques qui les incarnent, comment un tel miracle pourrait se produire.
La menace, déjà décelable dans des opérations comme celle de l’Union Pour la Méditerranée, est la mise sous tutelle des pays du Maghreb et leur spécialisation dans une sous-traitance générique. Y compris bien évidemment, et ce n’est pas le moindre des buts, sur le plan sécuritaire, notamment celui du contrôle des flux migratoires africains. L’objectif stratégique visé, en confinant une région politiquement affaiblie dans un rôle subalterne, est de contrer toute alternative autocentrée et autonome susceptible de modifier un rapport de force extrêmement favorable aux intérêts occidentaux.
A.W. : Les Algériens, étouffés et bâillonnés, vivent dans la confusion. Mais la jeunesse de ce pays cherche à le remettre dans le sens de l’histoire et dans le progrès. Beaucoup d’Algériens sont inquiets, ils veulent changer, mais ils ne sont pas rassurés : comment faire pour éviter la répétition du changement qui bascule dans la terreur ?
G.H. : La jeunesse s’impatiente à raison et voudrait un changement pacifique, comme la quasi-totalité de la société, mais les appareils de pouvoir refusent obstinément une perspective que la réalité de la crise politique rend inévitable. Cette situation est lourde de ruptures brutales et il est possible que, comme en 1992, l’armée soit appelée pour faire le sale boulot et préserver les privilèges de la caste ultra-minoritaire des 200 000 Algériens qui forment la clientèle du régime et fonctionnent, vis-à-vis du peuple, comme des « néo-colons ». Leurs pratiques n’ont rien à envier à celles des « grands colons » sous la domination française.
Comment éviter ce risque dans l’urgence, le temps faisant défaut pour s’organiser efficacement ? Le préalable politique à des dérives dangereuses consisterait en un accord le plus large possible entre tous les courants qui n’ont pas trempé dans l’opération de 1992. Ces courants ont la responsabilité de se rassembler et d’appeler à une forte mobilisation populaire autour de la défense de la souveraineté et, dans le même temps, de proposer un programme de politique économique et sociale qui mette définitivement fin à la corruption et libère l’économie. Au-delà de l’urgence, le retour aux principes de droit, de liberté et de justice est la seule voie qui permet au peuple de se prendre en charge et d’éviter l’anarchie qui guette. C’est bien cela qui est en jeu et c’est la raison pour laquelle j’estime qu’il est essentiel de parler, sinon pour prévenir une catastrophe, au moins pour en limiter les conséquences. Il ne s’agit pas de ressasser le passé et les occasions ratées : il faut témoigner pour préparer la relève.
A.W. : Quels seraient les acteurs du changement ? Peut-on espérer que les gens qui sont dans le système puissent comprendre qu’il est de leur intérêt de changer ? Certains, y compris parmi ceux qui se réclament des « réformes », préconisent une alliance avec la « bourgeoisie nationale » et le capital international. Est-ce une vision réaliste ?
G. H. : Je pense qu’il faut résolument – et définitivement – sortir du tropisme politique de milieux en rupture avec la population. Le changement viendra d’en bas et non pas d’un sommet qui n’existe pas. L’Algérie ne détient pas de gisements de zaïms en attente de résurrection, ce que notre tradition politique a systématiquement démontré. Chaque fois qu’une révolution a eu lieu, c’est sur une base populaire et sans l’intervention miraculeuse d’un chef charismatique. La mobilisation populaire dont j’ai parlé est la seule issue, mais elle exige des efforts d’organisation et de la vigilance.
Pour en revenir aux stratégies d’alliance, j’ai déjà dit à plusieurs reprises que les partis politiques affichés, à l’exception du FFS, ne sont que déclinaisons, de pure façade, du régime. Ceci quelles que soient les postures conjoncturelles des uns et des autres. S’agissant de ce que préconisent certains, y compris des « réformateurs » semble-t-il, de quelle bourgeoisie est-il question ? Cette fameuse bourgeoisie « nationale » n’existe tout simplement pas. Une telle formule relève de conceptions passéistes, d’un héritage de grilles d’analyse sociologiques de la fin de la période coloniale. Cette « bourgeoisie nationale » avec laquelle il y aurait intérêt à s’allier est plus probablement un des éléments de discours visant à représenter quelques affairistes connectés à la rente en tant que catégorie politique significative. En revanche, quand on évoque le capital international, on perçoit mieux la nature de l’alliance envisagée, en particulier dans le contexte global actuel. Il s’agit tout simplement de logiques d’intermédiation politique et de courtage financier.
A.W : Que pensez-vous de ce « printemps arabe » qui semble bloqué à nos frontières ?
Je considère que la « révolution arabe », si elle advenait en Algérie et s’il elle n’était destinée qu’à remodeler le visage des gouvernants, échouerait sans coup férir. La « restauration » honteuse par les partis politiques passerait, comme en 1962 et comme en 1991, par pertes et profits les souffrances des Algériennes et des Algériens.
Nous voyons se dérouler ce triste scénario en Égypte, où l’armée est le mandataire d’une transition contrainte. Et, plus encore, en Tunisie, où la préoccupation des dirigeants, de moins en moins sourde, est l’élection des élites anciennes de Bourguiba et de Ben Ali. Le pire des cas reste, bien sûr, la Libye, où c’est la « crème » de la corruption qui ramasse la mise avec le soutien de l’OTAN. Une révolution authentique est celle qui œuvre au changement de la nature des régimes et non celle qui cherche à recruter dans les mêmes viviers de l’autoritarisme des compétences moins décrédibilisées, un peu plus présentables. S’agirait-il d’autres avatars de l’imposture qui défigure depuis trop longtemps le quotidien arabe ?
J’ajoute enfin qu’il est absolument illusoire d’attendre une pensée libératrice d’un monde néolibéral, qui s’effondre économiquement, politiquement et moralement. C’est la substance de ce que je voulais dire aux Algériens.
47 comments
Napoléon Bonaparte fait des zèles, après avoir conquis et acquis les $ 169 000 000 000, pétrole et Gaz Libyen il veut faire la guerre à l’Iran.
Le monde a changé bizarrement, le séjour à l’UQUAM de l’ex maire de Bordeaux a bien façonné le politicien.
http://www.aljazeera.net/NR/exeres/D402A22B-9251-4925-8996-931E1DD009D5.htm?GoogleStatID=9
Le message des néo « colons » ne peut être interpréter autrement.
Les caisses ont été vidées par les Madoffs et les Arabes doivent payer.
Nous avons besoin de vos richesses, pétrole pour se maintenir en super puissance mondiale alors nous allons venir vous conquérir.
Le retour du Tsar, la position du Sultan d’Istanbul!
Révolution au Caire, la révolte à Damas, la chute de Bagdad, la guérilla Islamabad, l’occupation de la Palestine et demain l’invasion de l’Iran, l’Arabie = femme libre .
Pour quoi ?
bonjour,
le constat est peut être fait pour tout un chacun de nous l Algérie est bien malade et elle est sur un précipice, chaque minute de perdue malheureusement l’y rapproche de plus en plus! mais ce qui me chagrine le plus c’est cette inaction de tous ces hommes et ces femmes de bonne volonté! pourquoi Mr Hiddouci on appelle pas à un rassemblement de ce qui reste d’hommes et de femmes intègres (toutes idéologies confondues)pour essayer de contrer les forces du mal qui règnent aujourd’hui, es ce vraiment difficile de se réunir autour d’un programme conjoncturel ?
si le peuple algérien est sclérosé aujourd’hui c’est bien à cause de la démission collective de son élite, le peuple algérien est près à se soulever à tout moment mais il sait bien que s’il ne trouve pas à ces cotés des hommes et des femmes sur lesquels il pourrait compter pour une alternative salvatrice il fera rien d’autant plus qu’il connait bien les coups tordus du pouvoir.
la guerre civile une fois déclenchée personne ne pourra l’arrêter (la guerre du Liban est un exemple saillant) les affaires des marionnettistes fleuriront de plus bel et le peuple s’entredéchirera de plus bel aussi, et à ce moment ni nos déclarations sur internet ni nos rassemblements ni nos appels n y feront quoique se soit, ça serait trop tard! donc s’il faut réagir c’est maintenant qu’il faudra le faire sinon s’en ai fini de l’Algérie et la responsabilité en retombera sur chacun de nous.
« Nous voyons se dérouler ce triste scénario en Égypte, où l’armée est le mandataire d’une transition contrainte. Et, plus encore, en Tunisie, où la préoccupation des dirigeants, de moins en moins sourde, est l’élection des élites anciennes de Bourguiba et de Ben Ali. Le pire des cas reste, bien sûr, la Libye, où c’est la « crème » de la corruption qui ramasse la mise avec le soutien de l’OTAN. Une révolution authentique est celle qui œuvre au changement de la nature des régimes et non celle qui cherche à recruter dans les mêmes viviers de l’autoritarisme des compétences moins décrédibilisées, un peu plus présentables. S’agirait-il d’autres avatars de l’imposture qui défigure depuis trop longtemps le quotidien arabe ? »
Par cette conclusion, M. Hidouci a effacé tout ce qu’il a dit auparavant dans l’entretien et qui cherchait à identifier les acteurs potentiels du changement en Algérie.
A trop vouloir une révolution «pure et dure», on risque d’attendre longtemps le Mahdi Moul Essa3a.
En un mot, on nous dit et nous répète à satiété que l’Occident est seul maître de notre destin et que les peuples du Monde Arabe ne peuvent que se révolter afin de reconduire toujours les mêmes patterns de pouvoir despotique et corrompu.
C’est triste.
En toute vérité:
La dictature était visible de tous,elle était entourée de bras armés à la vue de tous.
L’État-DRS était assis sur des blindés et ne manquait aucune occasion de le faire savoir.
Dans cette interview, Monsieur Hidouci (dont j’ignore tout) laisse entendre qu’il n’a jamais été qu’un gentil et compétent technocrate qui n’a fait que servir «son» pays du mieux qu’il a pu.
Personnellement, je veux bien le croire malgré quelques doutes qui me poursuivent. Parce que, connaissant le fonctionnement général du système algérien et la désignation par cooptation à tout poste «politique», je doute que ce Monsieur ait été nommé «Ministre de la République» sans montrer certaines preuves d’allégeance et certaines accointances dont la première est sans doute celle qui est liée à son lieu de naissance dans la ville de Ain-Beida, ville située en plein centre du fameux triangle BTS aux gouvernes à l’époque. Sa compétence ? C’est un détail tout à fait secondaire. C’est comme si aujourd’hui, on tentait de justifier par son niveau de compétence technique, la nomination d’un Medelci au poste de chef de la diplomatie algérienne, alors que chacun sait que c’est son lieu de naissance qui est le facteur déterminant.
Tribalisme, régionalisme, clanisme, clientélisme et médiocratie ont toujours régenté notre Algérie, peu importe le reste et notamment la «compétence». Autrement, depuis 50 ans, ça se saurait. Je souhaite simplement qu’un jour cela fera vraiment partie d’un passé révolu.
En revanche, dans cette interview, j’ai été touché et me suis senti interpellé dans mon être d’Algérien lorsque M. Hidouci fait mention de ses ennuis de santé et nous part de son désir de rentrer au pays, mais qu’il ne peut le faire sans danger. En effet, je n’arriverais jamais à admettre que d’une manière ou d’une autre on interdise à une personne l’accès au pays qui l’a vue naitre, dans lequel elle a grandi et où vivent encore ses proches.
En même-temps, je m’interroge sur le cas de M. Hidouci. Mais qu’a-t-il donc fait de si horrible pour qu’il soit banni de la sorte. Personnellement, je n’en sais rien, car encore une fois, j’ignore tout de ce Monsieur. Je sais par contre, que beaucoup d’ex-ministres comme lui (c.à.d. du gouvernement Hamrouche) et Hamrouche lui-même, continuent à vivre en Algérie sans faire étalage d’une crainte excessive ou évoquer un risque particulier. Il me semble même que la plupart d’entre eux (j’allais dire : tous) sont moins exposés que nous autres qui n’habitons pas dans des quartiers sécurisés, qui n’avons pas de compte-devises conséquents pour changer d’air à l’occasion et qui n’avons pas de passeport diplomatique pour fuir en cas de troubles.
Alors si ce n’est pas d’ordre politique, quel irréparable a donc commis M Hidouci?
Je ne sais pas, mais peut-être a-t-il simplement gêné malencontreusement à un moment donné, un Parrain de la Maffia qui s’est promis d’avoir sa peau (issalou hsifa!).
Déplacer la question, dans quelles conditions les peuples arabes se révoltent(dictaures cinquantenaires et plus)à que sait-on de leurs révoltes et de leurs résistances,alors l’image de la servitude volontaire devient le centre de l’analyse de l’homme arabicus et l’y enferme.
Dans certaines situations le peuple, prend le risque de la défaite ou de la victoire, si cela doit consolider sa force et blayer la l’obeissance.
Oui, Monsieur HIDOUCI vous avez parfaitement analysé la situation catastrophique dans laquelle se morfond notre chère ALGERIE.
Nous sommes sous l’emprise des néocolons, des bouviers dont la pensée n’a jamais dépassé le nez. Les Kadour et Mohamed ont remplacé les Pierre et Paul. Quant aux nouveaux bourgeois, enfin… les nouveaux voleurs et suceurs de sang du peuple algérien ne pourront jamais égaler aux vraies anciennes familles bourgeoises algériennes du temps de la colonisation qui se comptaient sur les doigts d’une seule main… TAMZALI, HAMOUD BOUALEM ou DAR EL GAZOUZE comme cette famille était appelée par les vieilles familles algéroises de l’époque, BENCHICOU et BENGANA qui ont aidé le FLN à l’époque de notre glorieuse révolution et qui ont été bien »remercié » par les nouveaux parvenus que l’ont appelle les nouveaux colons ou péjorativement les nouveaux »riches » que tout le monde, ici, appelle les VOLEURS !!! Tout simplement…
AZUL.
@Adel,
Contrairement à vous, je trouve la phrase que vous citez de M. Hidouci particulièrement intéressante et intelligente. Elle renferme beaucoup de lucidité et mériterait une meilleure attention qu’un rejet aussi catégorique. J’ai déjà dit auparavant que je sais très peu de ce Monsieur et que je n’ai nullement l’intention de le défendre, mais mon honnêteté intellectuelle m’oblige à reconnaitre qu’il a beaucoup de bon sens, particulièrement dans cette phrase qui le disqualifierait d’après vous. En effet, à quoi ça sert de s’empresser de faire une révolution «cosmétique» si c’est pour reconduire les mêmes fonctionnements de base, les mêmes habitudes et les mêmes «patterns» (comme vous dites). Quand je regarde autour de moi et que je vois les alternatives qu’on nous propose (un peu plus de «Pseudo-démocratie», un peu plus de «Religion», un peu plus d’«Amazighité», un peu plus d’«Arabisme» tout en gardant le reste inchangé et en mettant en avant les sacro-saints slogans «unificateurs» d’«Algérie une et indivisible», «un pays, un peuple, une nation», «tous musulmans», sans oublier cette arme suprême qu’est le «sang des martyrs»), alors-là, moi j’ai des doutes. Je doute, car quand j’entends cela, je ressens comme une impression de déjà-entendu et de déjà-vécu. C’est pour ça que je refuse les saupoudrages qu’on nous propose actuellement et c’est pour ça que les discours «pseudo-révolutionnaires» ne prennent plus. La majorité de notre population semble adopter le même raisonnement. Elle refuse de se soulever car comme dit l’adage : «si tu me trompe une fois, honte à toi et si tu me trompes deux fois, honte à moi».
@ Mr Nazim, merci pour votre honnêteté intellectuelle, ceci étant dit, ceux qui étaient dans le même gouvernement que Mr Hidouci (gouvernement que je considére le meilleur techniquement que l’Algérie ai connue)n’ouvrent pas leur bouche tout simplement! et que , bien sur connus pour leurs ruses et espiégleries ainsi que leur soif de pouvoir, le régime en place dans le début des années 90 fin 80 (j’étais encore étudiant), voulait faire croire aux Algériens que Mr Hidouci en soit disant complice avec le bureau de négoce de l’époque ACT (SI JE ME SOUVIENS BIEN) dont le propriétaire est juif, pour gagner de l’argent au profit de l’Algérie alors qu’au contraire ils allaient sauver des millions de $ sur le marché des produits de consommation de base (sucre, lait , café ..etc)domaine monopolisé par l’ex ONACO et je vous laisse deviner qui étaient derriére…. et bien plus j’espére vous avoir un peu éclairé ….
à M. NAZIM
Je connais M.Hidouci, mais lui ne me connais pas, il vit très très très modestement à Paris. Je peux vous prouver que c’est un homme propre, tros sincère, et honnête. Vous allez me dire que vous connaissez pas non plus pour me croir, comment fair? on se contacte sur Facebook?
@WAHID
Tout a fait d’accord avec vous, le probleme ne reside pas seulement dans notre systeme, le probleme est globale, les puissances mondiales, voient leur economies s’effriter a vue d’oeil et l’autre oeil vise nos ressources naturelles pour renflouer leur caisses vides.
Ils n’ont rien a foutre de notre bien etre, de nos droits de notre liberté, pendant des annees ils ont soutenu ces regimes a 3 balles et tout d’un coup ils se reveillent et commencent a nous faire miroiter nos droits, liberté et democratie et nous comme de pauvres cons, nous allons substutuer une dictature locale contre une autre externe.
La course a la survie economique a deja commencé dans les sous sols des agences de planification geo-strategiques, ils n’ont pas le choix, autrement ils veront leur peuples respectifs se retourner contre eux. Alors la seule chose qui est dans leur mire est nos richesses.
En tunisie, on prend les meme et on fait un melange, un petit sejour aux states et on jette la soupe au peuple et on attend le retour de l’ascenseur. On irak la cata pour eux un gouffre financier enorme, ils s’en mordent les doigts, la syrie, l’egypte idem, la lybie est la grande porte qui mene a l’algerie, le dernier domino qui tombera tres bientot…a moins que des concessions enormes, entre autre LE SAHARA….soient faites illico-presto
Je vais retourner fumer, le cauchemard reprend de plus belle
Monsieur @Adel, il n’y a pas que Hidouci qui peut se tromper sur une sitution politique donnée. Il y a beaucoup de personnes qui ont applaudi, aussi, à la « révolution » lybienne depuis le début. Mais, ces personnes là commencent enfin à voir les choses avec des yeux plus lucides pour enfin relativiser cette « révolution » ????!!!
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Je suis de ceux qui ont applaudi la REVOLUTION libyenne dès le début, le jour-même où l’avocat des familles des victimes du massacre de la prison de Bouslim a été arrêté par les nervis de la police politique du fou de Tripoli. Je suis à ce jour subjugué par la maturité et la lucidité de la société libyenne qui est entrain, lentement mais sûrement, de prendre en main son destin. J’ai suivi avec beaucoup d’attention le congrès de nos frères berbères libyens, il y a 3 jours sur Al Jazeera Mubasher. Je n’ai pas entendu un seul instant, un berbère critiquer (ou encore moins insulter) son compatriote arabophone ou sa propre religion. En aucun cas, ils n’ont remis en cause les fondements de leur identité. Ils s’exprimaient en langue arabe et en langue tamazight sans aucune honte. Je n’ai pas entendu un seul d’entre eux s’exprimer en italien (langue du colonisateur). Ce sont des signes qui ne trompent pas. Et nous sommes à des années-lumières (du moins en ce qui concerne nos « élites ») de cette société malgré la politique de désertification politique et culturelle pratiquée durant plus de 40 ans par le psychopathe-roitelet de l’Afrique virtuelle. Soyons plus modestes, évitons de donner des « leçons » à nos voisins et ayons l’honnêteté et le courage de régler nos propres problèmes.
Cordialement.
Salah-Eddine SIDHOUM
Ghazi hidouci a eu le malheur de faire partie du seul gouvernement serieux et competent qu’a eu l’Algerie depuis 1962.son double malheur est qu’il a ete le cerveau et le maitre d’oeuvre des reformes economiques qui s’attaquaient frontalement aux interets de la mafia militaro-financiere qui gerait le commerce exterieur (source et mamelle de la corruption et de la prebende).ENAPAL de l’epoque importait pour 4 milliards de dollars.on sait bien comment deux directeurs generaux (Bensaid et Zemmouri) ont ete injustement incarceres et par qui,pendant de longues annees afin que Belkhir,ses executant et ses sbires raflent tout ce qui a trait a l’importation des sucres,cafes,laits,thes etc…..ACT et Benhaim,l’observatoire sur le commerce exterieur,la loi sur la monnaie et le credit sont autant de nuisances que les barons et les putchistes devaient eliminer pour continuer leur rapine.quand a sa pretendue descendance juive….j’aimerai autant avoir un Algerien propre,honnete ,integre et competent de confession israelite ou Raelienne qu’un voyou .pour retablir la verite.la famille Hidouci sont d’authentiques Chaouis que j’ai eu le bonheur d’avoir comme voisins dans les annees 60.laissez moi vous dire que tous les Hidouci que j’ai connu etaient de tres brillants eleves.quand au proprietaire du Nahar..en l’occurence mohamed mguedem,une petite introspection historique dans la ville de bordj bouareridj vous edifiera sur l’origine de cet enfant ne sous X de pere Maltais et de mere algerienne(la bonne de ce maltais).le pere mgudemem travaillait comme manoeuvre pour son patron qui l a recompense d’avoir endosse cette naissance.comme le dit un proverbe de chez nous:KHALI ELBIR BAGHTAHE.
Cher Monsieur Salah-Eddine SIDHOUM, je ne donne pas de leçon au peuple libyen. Qui suis-je pour le faire. Je suis un internaute algérien. Mais en tant qu’algérien, je donne un avis personnel. Pour se qui me concerne, moi, je n’applaudirai jamais « la révolution libyenne » tant que c’est Sarkozy qui fait l’éloge de cette révolution et qui a le privilège de l’inaugurer avant le peuple libyen lui-même. Voilà tout.
Moi, je reste sceptique pour l’instant. Mais, je peux changer de point de vue, avec mea culpa, si le peuple libyen me contredit. Mon intuition, encore aujourd’hui, fait que cette révolution n’est pas spontanée. Peut-être que je me trompe mais pour l’instant, il n’y a rien qui fait que je doive m’esclaffer de joie. Pour l’instant, c’est encore la grande kermesse au sein du CNT.
NB :
1/-ceci étant, j’espère que je me trompe et que le peuple libyen est vigilant.
2/- Il me paraît bizarre quand même que les adversaires du hizb françà soit « vigilants » chez nous en Algérie mais pas suffisamment en Libye.
3/- Je ne défends pas le dictateur tortionnaire Kadhafi, j’espère qu’on l’a compris.
Avec tout mon respect habituel
@Nazim et BRAHIM
Bonjour, chers compatriotes,
Cher BRAHIM, M. Hidouci n’a pas seulement émis des doutes sur la révolution libyenne – ce qui m’aurait paru à la limite acceptable, tant l’assistance de l’OTAN est difficile à assumer, même pour le CNT lui-même -, mais il a disqualifié les trois révolutions qui ont réussi à chasser les tyrans. Nous avons pourtant vu de nos propres yeux sur les chaînes satellitaires les images quotidiennes du combat qu’ont mené les trois peuples frères contre les systèmes tyranniques, jusqu’à la fuite des tyrans. Balayer d’un revers de la main tant de luttes et de sacrifices me semble relever de la TRAHISON pure et simple des peuples – et je pèse mes mots.
La construction de l’État de droit est un processus. Ce processus n’a pas de fin, car même les vieilles démocraties ont encore des défauts, mais il doit impérativement avoir un DÉBUT. Ce qu’ont accompli les trois peuples frères, c’est bel et bien une rupture radicale avec l’ancien système. Qu’il y ait des tentatives de récupération de ces révolutions par des hommes de l’ancien système, cela est déjà arrivé dans l’histoire et pour l’une des révolutions démocratiques les plus prestigieuses : la révolution française de 1789.
Le plus important est de se réveiller et d’entamer le processus de construction de l’État de droit. Les patriotes tunisiens, égyptiens et libyens sont toujours sur le terrain. Faisons leur confiance. Un jeune ami libyen – j’bali, berbérophone – de Tripoli m’a appris hier que son cousin était mort et son frère blessé dans la bataille de libération de la ville de Sebha. C’étaient deux jeunes hommes engagés volontaires dans les rangs des insurgés. Quel plus bel exemple de détermination la jeunesse libyenne peut-elle donner aux «élites» du monde arabe?
M. Hidouci, ayant discrédité les trois révolutions, ne propose aucune alternative. Ses paroles ne sont donc en fin de compte que des vœux pieux. Par ailleurs, il a oublié que lui-même a été ministre de l’économie dans un gouvernement désigné par un système illégitime, dans lequel la corruption et la prédation étaient bien implantées.
Il est évidemment plus facile de sermonner les autres. Je lis derrière ses propos une certaine forme de mépris pour l’action populaire, en particulier lorsque celle-ci est l’œuvre de masses «arabes travaillées par l’islamisme». Réflexe involontaire de rejet de la part d’un «intellectuel occidentalisé»? J’espère me tromper.
Cordialement
Quand à la réflexion : « Je n’ai pas entendu un seul d’entre eux s’exprimer en italien (langue du colonisateur). Ce sont des signes qui ne trompent pas. » C’est normal car les italiens n’ont pas fait une colonisation de peuplement. La France est restée 130 ans chez nous mais ce n’est pas parce que je m’exprime en Français que je suis francophile.
1/-Je suis francophone et je suis content de l’être. 2/-Je suis arabophone et je suis content de l’être. J’ai appris la langue arabe la grammaire et l’ortographe déjà au primaire durant la colonisation. De plus, ma femme étant une arabe algérienne de l’ouest donc on discute plus en arabe en famille et subsidiairement en Kabyle malheureusment).
3/-Je suis berbère et je suis fier de l’être.
4/-J’aspire à parler en Anglais « fuently » mais il me faut beaucoup de travail.
5/-Les berbères algériens à l’instar des ceux de libyen ne sont pas, eux aussi, contre les arabes et l’islam, mais contre les dictateurs qui ont utilisé l’idéologie arabo-islamique contre arme de guerre contre les berbères algériens.
@BRAHIM
Bonjour,
Permettez-moi de revenir à la charge, après avoir lu votre réponse au frère Salah-Eddine.
Je crois qu’il ne faut pas faire l’erreur de considérer la révolution libyenne commune une affaire de politique intérieure française – ou européenne ou encore américaine – et «casser» du Sarkozy par Libyens interposés. Que Sarkozy joue son avenir politique avec l’affaire libyenne, cela saute aux yeux, mais pourquoi le CNT libyen devrait-il s’en soucier? En quoi ça le regarde? Disqualifier le CNT et son action, parce que Sakozy ou BHL en font l’éloge me semble relever indirectement de l’argumentation ad hominem (ce que tu fais est mauvais car quelqu’un de mauvais te soutient). Le CNT et Sarkozy sont dans deux sphères différentes et poursuivent chacun son objectif. Sarkozy veut être réélu et le CNT veut réussir à libérer totalement la Libye de l’emprise du clan Kadhafi.
Par ailleurs, je ne crois pas beaucoup à la rhétorique «anti-impérialiste» du style : les Occidentaux veulent prendre possession du pétrole libyen, car c’est là un raisonnement tout à fait primaire. Leur pétrole, les Libyens seront bien obligés de le vendre et les pays européens restent leurs meilleurs clients potentiels, vu la proximité géographique. Sous Kadhafi, les Occidentaux faisaient d’excellents affaires et le peuple libyen était traité comme de la m… (hachakoum). Demain, les Occidentaux continueront à faire des affaires mais le peuple libyen commencera à préparer sérieusement son avenir. Là est toute la différence.
Second point : Les Libyens n’ont pas les mêmes rapports avec la France et avec l’Occident que nous autres Algériens. Leurs ennemis héréditaires sont les Italiens. Il faut aussi comprendre que la jeunesse libyenne d’aujourd’hui ne croit plus aux mensonges de Kadhafi et de ses enfants tant elle a eu le loisir de constater au fil des ans que cette famille est une famille de malades et de pervers qui ont fait main basse sur la Libye. Ils sont tout et le peuple libyen rien. Pour cette jeunesse, l’OTAN et l’Occident sont des anges comparés au membres du clan Kadhafi.
Cordialement
Après La chute de trois dictatures,les oligarques exigent que les peuples de Syrie,du Yemen,du Bahrein et d’Algérie cessent d’être des HOMMES,because le GRANG JEU, c’est un luxe,le manque de visions,et(l’absence d’avant et d’arrière-garde).
À quoi ça sert de se battre,déja vaincus avant d’avoir levé le poing, et que même la providence a déja choisi son camp.
Rangé,classé,et théorèmes à l’appui : sarko, L’oncle sam, sion,castro,chavez,l’oncle ho…..boutez
Les cris des sirènes sont non seulement faux mais ils peuvent être dangereux.
À bas le régime, À bas le DRS, pour un État démocratique et de droit.
@Brahim
Nous Algériens, on ne cessera jamais d’envier les peuples qui se sont libérés et qui prennenet ainsi une bonne longueur sur nous, au lieu de les féliciter.
Les bonnes manières n’existent pas l’Algérien, en règle générale, après des traumatismes de deux siècles au moins; elles ont été remplacées par les lamentations et les médisances.
Cessez de nous prendre pour des imbéciles en ressassant la même rengaine de Sarkozy et de je ne sais quoi et qui! Tout le monde connait les raisons de l’intervention occidentale, sous l’égide de l’ONU et le silence de la ligue arabe, au moment où les Arabes se croisaient les bras et regardaient les gens mourir, voire se délectaient de leur mort. Où étiez vous au moment où Misrata recevait sur sa tête des milliers d’obus et missiles et c’est le même cas pour Zaouia, Zentan et Benghazi.
Si ce n’était Sarkozy, grâce à Dieu, vous autiez peut-être dansé sur les corps des enfants et des innocents massacrés et auriez applaudi le criminel Kaddafi. Arrêtez de prendre des vessies pour des lanternes et nous répéter votre théorie virtuelle du complot et patati et patata. Jusqu’à une date récente, je ne pouvais tolérer qu’on me parle des dirigeants occidentaux, mais après ce que j’ai vu comme sauvagerie à l’encontre des opprimés et l’asssitance à personne en danger des occidentaux, je ne pourrais tolérer qu’on me parle des dirigenats arabes et de la théorie du complot, cet épouvantail, et ce en vu de se laisser faire et se laisser tuer.
Beaucoup d’Algériens espèrent au fond d’eux mêmes l’échec des révolutions arabes et ce pour se donner bonne consciences de ne pas avoir fait comme leurs frères et pour titiller, un tant soit peu leur vanité et leur arrogance vis à vis de l’autre, ainsi que leur célèbre M’RAGA!
Nous Algériens, ça nous reste au travers de la gorge que les autres réussissent et que nous, pauvres bras cassés, on végète et on attend le Messie.
Chaque révolution passe par des problèmes, des difficultés immenses et des sacrifices à ses débuts, et ce n’est que dans la mentalité des Néo-Algériens que tout doit se passer à merveille, soft, sans anicroches, sans efforts et sans une goutte de sang, sur un coup de baguette magique, comme ça!!!. Mais cela, on ne le voit que dans les dessins animés et encore……dans les mentalités de blad miki! Et même l’amour ne se fait pas sans efforts et sans sueur, façon de dire qu’on n,a rien pour rien et que le maxime RAGDA WA T’MANDJI ne s’applique qu’aux Algériens soft, pure laine? Pardon, pur HALFA!
Vive la Libye et vive le CNT et je leur souhaite de tout coeur la réussite et le développement.
Je souhaite que cette intervention soit publiée, s’il vous plait, pas comme celle d’hier sur cette même page, qui a été dûment censurée.
@Adam , cesse de me prendre à votre tour pour un imbécile. Je vois à longeur de lignes des internautes qui nous radotent et nous bassinent d’anti Sarkosysme mais jamais tu ne leur as parlé de la sorte comme tu me parles à moi. Mais parce que c’est moi qui donne un point de vue, c’est la tempête.Restons calme , c’est mieux pour tous.
@Adam libre à toi de crier vive le CNT. Mais ce n’est ni tes « vive » le CNT ou mes « à bas » le CNT qui vont changer quelque chose en libye. On est juste en train de changer des points de vue. Si je suis dans l’erreur les internautes me zapent d’eux même et ne feront pas attention à se que je dis.
Je suis algérien, MOI AUSSI, je te le signale en passant.
Merci de me lire et VIVE L’ALGERIE.
Oui monsieur ghazi , je reconnais que vous etes musulman ET aviez fait la priere du asr si je ne me trompe chez nous a boufarik
je suis le fils du defunt abdelkader.G qui malgrés ses service au pays, on a subis le terrorisme et
mtn ces jours ci :
MOI MEME JE SUBI DES HARCELLEMENT ET INSULTE ET INSULTE QUE JE SOIT A ALGER OU A LETRANEGR ET TENTATIVE DEMPPOISONNEMENT ET INSULTE AU TELEPHONNE ET DIVULGATION DE TOUTE MES COMMUNICATION TELEPHONNIC PAR DES VOYOU POUR ME RENDRE MALADE
MALGRES QUE G ESSAYER DE DEPOSER PLUSIEURES PLAINTES REFUSER
MENASSE ET HARCELLER PAR DES ALGERIEN ET ETRANGERS QUI SE DISE AU DESSU DE TOUTE PUNITION
Pour M.NAZIM
Pour votre information cher compatriote, je vous envoie de lien.
http://www.anp.org/fr/LesGenerauxEtLeGIA/LesGenerauxEtLeGIA9.html
Une autorité légitime est un pouvoir attribué par le Peuple souverain.
En Algérie il n’y a jamais eu d’autorité légitime, seulement des forces d’occupation qui s’alternent, et qui étaient/sont ‘’légitimer’’ par certaines puissances étrangères, au nom de leur propres intérêts et, il faut le dire aussi, par des manipulations éhonté de la religion.
Qu’es ce qu’une force d’occupation : c’est une force qui se maintien non pas par le Droit, mais plutôt par le non-droit.
Comment créer les conditions pour l’avènement d’un État de Droit : à mon humble avis, ça doit passer par l’unification des forces qui sont réellement pour le changement, loin de tous règlements de comptes.
Les membres de cette nouvelle force doivent renoncer à accéder au pouvoir suprême.
citoyen karim
Bonjour tout le monde,
Je vous préviens, je ne prétends nullement donner des leçons, ni au Libyens, ni non plus aux Algériens qui, chacun à sa manière, tentent de comprendre ce qui se passe dans le monde arabe. Je que je voudrais souligner, à propos de la thèse emise par M. Sidhoum quant à la maturité des berbères de Libye,c’est qu’il ne suffit pas que ces derniers soient lucides, c’est qui reste d’ailleurs à démonter et pas sur le champ tant la situation n’est toujours pas claire, mais aussi faut-il avoir la force requise pour pouvoir imposer des choix salutaires pour la Lybie. A titre d’exemple, le contrat de Rome. Les signataires du contrat de Rome à Saint Egidio avaient-ils, oui ou non, raison? La réponse est claire: ils avaient parfaitement raison et, bien plus, ils ont pris une avance considérable, en matière de lucidité, sur des intellectuels réputés être de grande facture. Ont-ils pour autant réussi à imposer leur vision des choses? Non. Par conséquent, avant d’mettre une quelconque appréciation, il faut d’abrod savoir quelle est la place qu’occupent les berbères de Libye dans l’échequier politique libyen.
Cordialement
INGRACHEN Amar
@Adel
« Par ailleurs, je ne crois pas beaucoup à la rhétorique «anti-impérialiste» du style : les Occidentaux veulent prendre possession du pétrole libyen »
Je suis déçu par la naïveté d’un peuple passive, d’élite désorientée, manipulée et abusée et surtout de la totale l’absence de compréhension des enjeux et de ce que devrait être le combat et la lutte pour recouvrir les droits d’un peuple qui acquis au prix de sacrifices droits et liberté y compris sur les richesses.
Depuis les événements d’Octobre 1988. Le printemps Algeriens ou la Neksa Algerienne
1989 ouverture du secteur énergétique aux investissements étrangers, non pas pour le partenariat comme le disaient nos gouvernants, mais pour le partage des richesse entre des clans mafieux et des sociétés étrangers. Noureddine Zerhouni, ambassadeur d’Algerie au USA, Japan, Mexique a joué un role important dans la denationalition des hydrocarbures.
1
1989-1999.
Les PDG sous le contrôle du DRS, exécutaient la politique de dérives de la Sonatrach, 50% des ressources énergétique seront partagé durant cette période, au même moment des milices au non du Djihade au nom d’Allah massacré, terrorisé des populations civiles sans défense, et le territoire du Sahara Algérien interdit d’accès. Au même moment des clans de généraux corrompus faisaient des opérations import-import, les opérateurs économiques derrière eux leur parrains militaires, obtenaient des crédits des banque qui ne sont en réalité que l’autre moitié des recettes de Gaz et Pétrole. Ces importations passaient sous douane, exonéré d’impôt a permis a ces gangs d’accumulent des fortunes qui durant les années 1999-2012 vont piller sous une autre formes les fonds destinés au différents plan de développement initié par les gangs du président.
Khalifa, Tonic, Pepsi, Coca Cola, Rabrab « C’est vital », Haddad, sans aucun dinar en poche, quelques années leur suffiraient pour accumuler des fortunes au point ou ils sont devenu une menace pour la stabilité du pays.
2
1999-1999.
Nous étions sur le point de perdre l’autre 50% des richesse du pays, le PDG et Ministre de l’énergie, le clan de Bouteflika pour contrecarré les milliardaires des généraux corrompus ils se mettaient aux même pratiques mafieuses, le partage des milliards de dollars invertis dans les différents plan de développement économiques, infrastructures routières, portuaires, logements, équipements, au meme moment des milliers d’Algeriens continuent a mourir sous les balles des services de sécurité au non de la lutte anti terroriste, des centaines de milliers d’Algériens continuent de fuir, exclut de la clientèle du pouvoir, ou inapte pour s’enrôler ou servir les clans mafieux.
Ils sont booster la production du GAZ et Pétrole au point ou ils ont puisé dans les réserves de générations futures, ils ont gaspillés plus de 90 % des recettes pour des projets au pris d’or, ils ont été les premiers a bénéficier des pot vins, commission, ils ont été le premiers a tirer des dividendes de projets des différents plans de développement, le richesses ont été vendu et les recette n’ont jamais été rapatrié. Des fonds qui ont servi uniquement au soutien du système des clans mafieux.
Des chiffres et des lettres
1
La société Gulf Keystone Petroleum dans le Hassi Ba Hamou detient 60 millions de barils de pétrole en Algérie.
2
Anadarko réclame 2 milliards de dollars à Sonatrach, au sujet du paiement de la taxe sur les superprofits pétroliers.
En 2003, la Sonatrach vendait les actions quelle détenait sur les compagnies américaines Anadarko et Duke Energy.
3
La signature de l’Avenant au Contrat de Partage de Production Sonatrach BP/Amoco –Sonatrach sur les Gisements de Gaz de In-Amenas en 2002
» Le potentiel du gisement est estimé à plus de 300 milliards de mètres ».
4
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAHS500p032-035.xml2/holding-groupe-cevitalles-grandes-dates-de-l-entreprise.html
http://www.lesafriques.com/bourses/petrole-et-emprunt-le-groupe-haddad-veut-jouer-avec-les-gr.html?Itemid=308?articleid=20982
Nous avons échouer le processus enclenché après les événement 1988. L’Algérie de 2012 est profondément abusée. Nous sommes pas et nous ne serons pas très différents des Egyptiens, nous sommes capable de faire autant, se débarrasser du système pour redresser le pays, et se débarrasser des tyrans qui ont tué, massacré, et terrorisé le peuple pour l’agent et le pouvoir, ils ne seront plus maîtres sur la terre des martyres ces traîtres et opportunistes.
Je ne crois pas que les Algériens vont se laisser faire après avoir vécu l’épisode tragique de la salle guerre.
Je suis d’avis que la lumière sur ce qui s’est réellement passés durant la période 1988-2012 pour situer les responsabilités, tourner cette page tragique de histoire de l’Algérie et surtout recouvrir nos droits et libertés acquises en ce mois de juillet 1962.
Ma question.
Es que vous pensez que c’est normal qu’un citoyen Algérien fuit son propre pays riche, vaste pour aller se terrer dans des pays d’Europe, d’Amérique et d’Asie au même moment des étrangers tirent profits et bénéfices des richesses de l’Algérie, ces vampires sont dans tous les domaines de l’activité économique et les activités criminelles.
Le système qui gouvernent l’Algérie, le gouvernement, les assemblées, l’administration sont responsable de la situation que vit le pays, ils est juste que ces dernier seront les premier perdant une fois les changement seront imposé par le peuple.
L’équation est très simple et chaque Algérien est sensé prendre position vis a vis du système et su changement.
Une position ou il y’auraient ceux qui vont être actives dans la lutte et le combat pour changer le système politique et de la société dans le but de construire un état légitime, qui défend les intérêts suprêmes la nation, solidaire et coopératif avec les autres nations, un t système de droit, de liberté et de justice ou chaque citoyen trouve sans compte et satisfaction de vivre.
Une autre position celle des privilégiés du système actuelle qui va défendre ces acquis mal acquis, pour la sauvegarder du système. Hmimed, el3trous, el3ki, Hanouna, Saidia etc….
A voter avis quel sera le scénario probable, et qu’elle serait la position de la majorité des Algériens. Le système actuel n’a plus d’avenir dans notre pays, il est temps pour ces récalcitrants de chercher une issue a l’impasse.
Fraternellement
la vérité est que ce haydouci fait partie d’un clan ce clan a été déchu par un autre clan , vous connaissez tous comment marche l’algérie
le vrai patron = DRS auparavent SM
le peuple n’existe pas chez ces clans pour eux c’est comme une chaise ou une table placée dans un café
Pour une algérie libre et démocratique il faut balayer tous ces microbes DRS-PARTIS surtout FLN,RND et Hams, les associations du khourti (jeunesse,femmes…), dessoudre APN , Al GHOUMMA (oumma) .
mais le problème qui osera faire ça le peuple rahou lati bi azzatla
En ce qui concerne la Libye, je rappelle aux anti-sarkozistes que toute la classe politique française a soutenu l’intervention de l’ONU, toutes tendances confondues gauche et droite, excepté Le Pen et le Front National.
Par conséquent, si on suit l’argumentation de certains qui sont contre le CNT libyen parce qu’il est soutenu par Sarkosy, on peut leur retourner leur argumentation en leur disant qu’en étant contre le CNT, ils se rangent en fait du côté de Le Pen. C’est pas malin comme position.
@Adel
Au moment ou j’écrivait mon commentaire, j’ai été très en colère, croyez moi j’ai beaucoup de reproches a faire a ces oiseaux de malheur qui ont gouverné mon pays, déjà au lendemain de l’indépendance, ces groupes fortement armé, les uns couraient pour prendre Alger, d’autres empêcher les membres du GPRA de prendre la route vers la capitale, les autres pillés, les maisons, les commerces, arrêté et exécuté des innocents, pour asseoir un pouvoir sans légitimité. J’ai mile et une raison de les voire fuir l’Algérie comme des rats de gouttière après avoir semé crime et désastre.
Regarde ce qui ont fait de mon pays, des centaines de millier de morts, de disparus, de torturés, de déplacés, d’exilés, et comme bien de rêves ont brisés et de familles dissipés, d’orphelin et de veuves, des milliards de dollars gaspillés, pillés.
Ce n’est pas de la haine, c’est un sentiment de désolation que j’éprouve, j’aurais aimé voir mon pays gouverné par des hommes et des femmes honnête, compétant et intelligent, j’aurais aime voire le voeu des martyres de la décolonisation se réalisé.
J’ai une certitude les Algériens méritent mieux, un peuple qui a beaucoup souffert la guerre de la décolonisation, le régime dictatorial instauré en cette maudit été 1962, les évenement 1988 et la sale guerre et aujourd’hui nous subissant l’ultime calvaire, le Bouteflika, les generaux corrompus, et le système militarisé du DRS.
Nous avons besoin plus qu’une changement, plus qu’une révolution, nous avons besoin de se réapproprier notre pays, notre dignité, notre liberté et notre droit.
Un retour a la case de départ, c’est à dire 1962 et tourné la page, pour pouvoir se réveiller de ce cauchemars, il n’y a rien a retenir de cet épisode de l’Algérie de 1962-2012.
Bonsoir,
La Libye est discretement sous mandat Onusien . L’OTAN,le déclare ouvertement . Ils ne partiront pas tant que la situation ne se calme pas . Cette condition,veut dire que si l’OTAN,décide de rester des années en Libye,il lui suffit de maintenir un minimum d’insécurité . Le fait qu’on arrive pas à mettre la main sur Kaddafi malgré les moyens de l’OTAN,prouve à quel point l’occident veut se retirer!!
La réalité est que le monde est en plein crise économique . L’occident joue sa survie devant le géant chinois . Nous sommes devant un échiquier où les puissances se bousculent pour mettre leurs pions . En allant en Irak et en Libye,l’occident veut priver la Chine en énergie . Puisque nous dormons,les occidentaux utilisent nos armes pour faire pression sur la Chine . Notre problème est que nous sommes hors jeu et ce depuis des siècles .
Passer par telle personne pour avoir les coordonnées de telle autre n’est vraiment pas évident.
Ceux qui veulent le changement doivent faire en sorte à ce qu’ils soient joignables.
citoyen karim
Je suis heureux (pour ce qui me concerne seulement car c’est sûr ce n’est pa l’avis de tout le monde) de l’accueil TRIOMPHAL AVEC TOMATE réservé à Sarkozy par le peuple frère marocain lors de l’inauguration du TGV. Comme quoi il faut faire attention à la signification et à l’utilisation du mot « peuple ». il y a « peuple » et « peuple ».
@ Adam
ce sont vos paroles, et je ne pouvais m’empêcher de me rappeler notre révolution à nous (eh oui encore!) pensez vous qu’elle peut être comparée à celle du CNT? je ne pense pas….
Quoi que je partage qq unes de vos idées et votre frustration par rapport au nihilisme Algérien, je suis trés déçu que vous évoquiez Sarko comme sauveur! drôle de perception… d’une part oui il fallait sauver les victimes et dénoncer les traitres de la ligue Arabe qui ont cautionné l’intervention de NATO, mais faut-il rappeler que ces mêmes régimes Arabes (y compris Gueddafi) et surtout ceux du machrik sont une pure création des forces dominantes de ce bas monde? pensez-y (Lawrence d’Arabie, traité USA/AS , …Belfort..etc) alors oui je leur souhaite aussi prospérité et développement mais une chose est sure, tous les milliards de dollars dépensés (et payés par la Libye) pour détruire ce pays vont être encore une fois dépensés par la Libye sous forme de contrats et devinez à qui 🙂 , de plus posez vous la question, pourquoi la NATO n’a pas intervenu au Yemen, en Syrie, au Bahrein (pourtant envahi par l’Arabie S!) …autamt de questions et d’interrogations qui restent posés et entre autres : les Algériens aprés avoir fait le « révolution » en 88 (et je suis fier d’y avoir participé), aprés avoir subi des centaine de milleirs de morts , de lynchage, de terreure , d’harcélement, de torture…. avons nous le droit de les traiter comme vous le faite (sans goutte de sang?) ?? ont-ils peur ou sont-ils devenus aussi corrompus que le pouvoir?
hidouci fait partie des cadres algeriens honnetes il a fait partie du gouvernement hamrouche le seul qui a fait tremblerles daf et le drs quant au chiffon d’ennahar tout les algeriens savent qui est derriere cette puanteur hachakoum
je sais que ghazi hidouci est parmi l’un des rares chaouis honnetes qui n’ait pas collabboré avec les éradicateurs et qu’il mérite tout mon respect et j’espere sincerement pour lui que viendra le jour ou on reconnaitra ses mérites et sa droiture wa allah maa el haq salam
@ Jamil :
Je suis de votre avis, car j’ai comme intuition que les pays occidentaux veulent s’allier avec les pays musulmans contre la Chine, primo pour s’assurer les matières premières et deuxio pour affermir le rapport de forces démographique. La Chine est en train de leur faciliter leur stratégie en s’opposant à l’ONU aux révolutions arabes et en s’alliant avec les dictatures. On est en train de vivre un retournement d’alliances phénoménal au niveau platénaire. La Chine, allié traditionnel des mouvements de libération afro-asiatiques dont la majorité sont musulmans, va devenir sous peu l’ennemi juré des arabes en continuant à soutenir les dictatures.
La seule pomme de discorde qui risque de faire échouer cette stratégie, c’est l’alliance israélo-occidentale. Les pays occidentaux ne peuvent s’allier aux peuples arabes et musulmans tout en soutenant l’oppression du peuple palestinien. Cette question fondamentale est pour le moment non résolue. Deux scenarios sont actuellement envisageables pour régler cette question de manière non conflictuelle : le premier, c’est la solution de deux états nationaux sur la base des frontières de 1967 et le deuxième, c’est la solution d’un seul état bi-national, laïc et démocratique sur la base des valeurs occidentales.
wahid adam
Jusqua a quand?, ce pétrole va finir par s’épuisé. Et partout ils pensent a l’aprés petrole au énérgies renouvlables,il n’ya que les grands groupes et leur lobies petrolier qui refusent d’abdiquer car c’est des centaines de Billiards qui sont en jeux,sinon ils non presque plus besoin de petrole,encore une vingntaine d’années et c’est fini,la mentalité écolo prend de plus en plus de place et gagne du terrain partout dans le monde ,et meme dans les écoles maternelles ils commence à éduquer leurs enfants sur des principes écologique, il n’ya que nous « arabes »qui vivont du jour le jour sans pensé au lendemain.
L’Algérie est entre les mains de la pègre, toutes les institutions sont coiffées par des gens de la SM, aujourd’hui DRS. Tous les chefs de daira, procureurs, juges, walis; y ont fait un pasage et obéissent à leurs barbouzes, donc inutile de chercher la justice. Si vous voulez vivre en démocratie totale, le chemin est tracé par vos ex-semblables d’Egypte ; de Tunisie, de Libye etc… Mais savez que vous ne pouvez le faire ; car vous ne faites que spéculer sur la religion, le bon Dieu, à chaque instant vous demandez à Dieu de réaliser vos désirs et fantasmes…. alors vous pouvez attendre…. peuple aliéné!
Un maire, un PDG, un citoyen, un…… on voit défiler tous les jours dans la presse des procès contre X et Y, pour moi et je sais ce que je dis ce sont tous des innocents, vous allez me dire comment tu sais toi ? Je vous explique, si on juge quelqu’un en Algérie c’est qu’il est innocent et qu’il fait pas partie du groupe ou qu’il dérange ou qu’il est seulement le plus faible à qui on peut coller tout ce qu’on veut.
L’Algérie mon pays, mon identité, ma culture, mon éqLes requins sont de retour sur le littoral de la Méditerranée. Je pense que ce maire n’est pas d’origine algérienne. Il s’est trompé de société. Il faut être sûr que vous avez des gens derrière vous, sinon s’attaquer d’une manière frontale à des Algériens puissants, vous risquez de laisser vos cornes sur la place Monsieur.
Un maire ne doit pas braire. Bon courage. Un certain Benchicou est passé par là. Demandez plûtot l’aide de dieu que la main du peuple Algérien uilibre,…… où je ne vis plus depuis 3 ans maintenant, je vis ailleurs mais jamais loin de mon Algérie.
Je suis déçu de moi même, j’ai quitté mon pays (jeune diplômé avec un bon bagage technique et culturel pour rester modeste) au service d’un autre pays, déçu de mon peuple qui ne bouge pas et qui pense qu’à manger et dormir mais c’est pas sa faute la pauvre peuple martyre, déçu de l’image que donne mon pays à l’international, mais ça je m’en fous je l’assume, et le linge sale ça se lave en famille.
Revenons à nos problèmes, un maire n’a aucun pouvoir chez nous, c ‘est le wali, le chef daïra ….. qui dicte les lois, de plus on vient de changer les lois sur l’organisation des codes communaux …….. d’après ce que j’ai lu sur les journaux pour restreindre leur pouvoir qui est déjà symbolique .
Sans pouvoir et sans … ( je vous laisse définir), c’est une personne au service de la mafia qui dirige le pays, s’il fait une faute il paye et s’il fait pas de faute il paye aussi, de toute façon il payera, c’est ça le sort d’un citoyen algérien.
Payer de sa santé , de son sang , de sa fierté, de … , payer oui oui oui payer et vous allez encore payer, vous êtes qui pour ne pas payer ? Vous êtes rien vous êtes a leurs services c ‘est eux qui dictent leurs lois comme ils le disent si bien « qui commande ici ? », c’est moi , oui c’est toi je confirme. Et oui au pays des aveugles le borne et rois .
Bon je suis fatigué d’écrire je peux écrire encore et encore et ça changera rien , par ma lâcheté, par la lâcheté de mon voisi, par la lâcheté de mes ami (es), par la lâcheté de…. , le chacun pour soi n’a jamais changé le monde , alors on arrête de demander aux dirigeants d’arrêter d’être lâches et commençons par nous même et on fera changer les choses.’jai poster un commentaire, mais je me a été censuré, la semaine derniere – a propos des bois des pins. Mais pourquoi pas? Dans une autonomie régionale, ces affaires relèvent de la cour de la mairie, et l’arrêt ou la convocation du maire ou tout autre citoyen de la localité se fait par la police locale. Et même si un maire était coupable d’un crime au-dela des frontières de la commune, l’autorité qui l’en accuserait doit présenter la « preuve de bonne cause » a un juge local, qui émettra un ordre à la police locale, qui s’occuperont du transfert, Qui a le courge le temps l’envier de faire un geste pour une bonne cause ou pour une mauvaise, ou il est indirectement concerné ; je pense qu’il n’y pas beaucoup alors il reste que ces amis la famille et quelques sympathisants de la bonne ou mauvaise cause. Bon courage avec la justice algérienne, il est mal tombé, si il ne connait pas le système et j’en doute, un maire connait bien s’il fais partie du FLN ou RND ou n’importe quel parti politique. Les Algériens ont vécu l’assassinat de leur président et ils ont rien absolument rien fait alors si vous attendez quelque chose des Algériens il faut revernir dans le passé ou attendre le future. En ce moment l’Algérie et les Algériens à75% inaptes ; le pays et son peuple est on réanimation.
Des milliards jetés dans des avaloirs et la restauration des trottoirs Deux tiers du budget des APC pour les cinq prochaines années, ont été réservés pour la réhabilitation des routes, assainissement, restauration des trottoirs et achat de tracteurs.
Pendant ce temps, le citoyen restera toujours confronté aux dangers des inondations provoqués par la mauvaise gestion et le manque d’entretien des avaloirs.
APC de Dar el Beida : la réhabilitation de la cité El Hamiz a avalé tout le budget
Le président de l’Assemblée populaire communal (APC) de Dar El Beida, Elias Kemkani a fait savoir qu’il avait réalisé 80% des projets de développement comme promis, et d’ajouter qu’il avait alloué le plus grand du budget à la cité El Hamiz qui manquait, depuis des années, du minimum des conditions de vie. La cité, selon lui, sera alimentée en eau potable, en gaz et en électricité.
A noter que le budget de la commune est estimé à 204 milliards de centimes
Le président de l’APC des Eucalyptus : 40% du budget pour la réhabilitation des routes.
Selon le P/ APC de la commune des Eucalyptus, le budget de l’année 2010 est de l’ordre de 80 milliards de centimes, dont 45 milliards pour les équipements et 35% pour la gestion. La part du lion revient à la réhabilitation des routes, entre autre, la cité Kourifa, Ziatine et Nekhla concernées par le programme de réhabilitation avec un taux de 30%. 4 milliards pour l’AEP et 3 pour le secteur de l’éducation.
De son côté, le président de l’APC de Bir Touta, Rabah Djeroud, a déclaré que le budget de la commune pour l’année 2010, est estimé à 30 milliards de centimes. Soixante pour cent des projets a été réalisé durant l’année en cours. La réhabilitation des routes, le secteur des hydrauliques et la construction des écoles ont eu la part du lion.Après quatre jours de procès, le tribunal criminel près la cour de Tizi Ouzou a rendu son verdict, hier, dans l’affaire de l’agence foncière de wilaya. Les deux anciens directeurs de cet organisme en exercice durant les années 1990 ont été condamnés à de lourdes peines. Arab Ahmed a écopé de 10 ans de réclusion criminelle assortie d’une amende de 500 000 DA, tandis que Berchiche Hocine a été condamné à 8 années et 300 000 DA. Une peine de 6 ans de prison ferme et 300 000 DA d’amende a été prononcée à l’encontre de deux anciens employés de la même agence. Jugé par contumace, l’ancien maire FFS de l’APC de Tizi Ouzou, Taleb Ahmed, considéré en fuite par l’institution judiciaire, a été condamné à la perpétuité. Les autres prévenus, au nombre de 36, dont le notaire Rachid Ghelab, ont été tous acquittés. Rappelons que le parquet avait requis la perpétuité pour six prévenus et 10 ans pour le reste des inculpés. Les mis en cause dans ce procès étaient poursuivis pour falsification dans les registres officiels, signature des contrats en violation de la réglementation, dilapidation de deniers publics. Le verdict dans l’affaire de l’Agence foncière de Tizi Ouzou a été rendu dans la nuit de jeudi à vendredi après un harassant procès ouvert depuis lundi. Le tribunal criminel de la cour de Tizi Ouzou n’a pas suivi l’avis du parquet puisqu’il a condamné les accusés en détention et acquitté les prévenus libres. La présidente du tribunal a prononcé, en effet, une peine de 10 et 8 ans de prison ferme pour les deux anciens directeurs de l’Agence foncière, A. Mohamed et B. Hocine, et 6 ans de réclusion criminelle pour les deux fonctionnaires de la même agence, S. Amar et H. Mehdi. En revanche, l’ancien directeur B. Djaffar, le notaire G. Rachid, ainsi que les 34 autres inculpés ont été tout simplement acquittés, à l’exception de S. H. qui, elle, a écopé d’une peine d’une année de prison avec sursis.
Pour les principaux accusés, le tribunal a eu à répondre majoritairement par oui à la dizaine de questions, dont les quatre accusations suivies de questions subsidiaires. Quant aux prévenus libres, ils ont été concernés par trois questions auxquelles le tribunal a répondu par la négative, d’où leur acquittement. Le notaire, que l’accusation a voulu enfoncer, a été ainsi réhabilité puisque il a été acquitté ; le chef d’inculpation de faux et usage de faux est rejeté par la cour criminelle lors des délibérations. Auparavant, ses avocats se sont attelés à battre en brèche la même accusation en demandant l’acquittement de leur mandant, ce qui a été décidé par le tribunal. Celui-ci a répondu par non aux questions de participation à la dilapidation de biens publics, de l’usage de faux et de corruption qui concernaient tous les prévenus libres. Ce non est synonyme de leur acquittement pur et simple.
Certains avocats de la défense sont mécontents du verdict concernant les accusés en détention. Me Sahli, qui a assuré avec Me Aït Larbi la défense de l’ancien directeur B. Hocine, parle d’un procès “politico-judiciaire” destiné à la consommation interne. “Notre mandant a été condamné pour des faits correctionnels, puisque le tribunal a répondu par non aux questions de détournement de biens publics et de faux et usage de faux”, dira notre interlocuteur, qui estime que même si le tribunal a refusé d’accorder des circonstances atténuantes au prévenu, l’innocence de son client a été prouvée par la production de documents officiels. L’accusé compte introduire un pourvoi en cassation sous huitaine comme l’exige la loi pénale. Les plaidoiries se sont poursuivies durant la journée de jeudi.
Maîtres Gounane, Bentounès et Yekhlef se sont attelés à battre en brèche l’accusation en plaidant non coupables et ont pu convaincre le tribunal de l’innocence de leurs mandants. L’un d’eux a ironisé en qualifiant le dossier “plein de vides” et s’est étonné que le lien de parenté soit devenu un élément d’accusation. Un confrère lui a rappelé que l’analogie est une pratique interdite en matière pénale. Une trentaine d’avocats se sont relayés devant le pupitre depuis le début des plaidoiries. Il y a lieu de souligner que deux victimes qui se sont constituées partie civile ont été déboutées. Par ailleurs, l’ancien P/APC, T. Ahmed, considéré en fuite, a fait l’objet d’une procédure de jugement par contumace. Le tribunal criminel a suivi le représentant du ministère public en le condamnant à perpétuité. Ainsi s’achève le procès dont on pensait qu’il allait défrayer la chronique judiciaire locale mais qui a inspiré ce commentaire à l’un des avocats de la défense : “Ce n’est pas la mafia du foncier qui a été jugée !”
Les peuples qui ont compris comment changer leur destin .
Enfin ils ont compris qu’il faut s’y prendre.
http://www.aljazeera.net/NR/exeres/4935FE3A-3667-4000-A726-38DFE3468029.htm?GoogleStatID=9
Ce n’est pas l’opposition en Algérie qu’il s’agit mais celle qui est consciente de l’enjeu.
Je vous remercie monsieur le ministre pour votre revelation concernant le dénommé enrico macias.Vous venez de deposer la petite piece de puzzle qui manquait pour ce personnage.Cet israelien de corps et d’ame se cachait derriere son talent musical (c’est vrai qu’il chante bien…..)et sa guitare croyant qu’il pouvait endormir les algeriens sur toutes les positions qui ne cesse de prendre et avec votre revelation on peut ajouter ces actes , puisqu’il se presente pour une personne qui n’a fait de mal à personne.IL FAUT JAMAIS OUBLIÉ UNE CHOSE, ET POUR CEUX QUI SE DONNE LA PEINE À ECOUTER LE REGIME ATTAQUER LE SIONISTE BERNARD HENRY LEVY, APRÉS QUE CE DERNIERS AIT BLANCHI LES GENERAUX DE LEUR CRIME, QUE LE SIONISTE ENRICO MACIAS A ÉTÉ INVITÉ OFFICIELLEMENT PAR BOUTEFLIKA,EN DEFIANT LES SENTIMENTS DES ALGERIENS ET DES CONSTANTINOIS EN PARTICULIER.
Pour comprendre cet individu il faut aller à wikipedia et tappez enrico macias et regrader son lieu de naissance, vous allez trouver lieu de naissance:ALGERIE FRANCAISE avec le drapeau francais à côté.C’est vrai que c’etait la france de son enfance. Ce passage à lui seul resume le personnage et ses positions. Pour quoi insister à inscrire un pays qui n’existe plus, et qui n’a existé que par l’usage de la force, la mort, la peur et le fait accompli.Etant donné que ce pays virtuel n’a jamais été accépté dans la consience des algeriens.Il dit que la guerre de liberation a divisé les fils d’algerie.FAUX.Puisque le depart des pieds noirs n’a pas été souhaité ni par les historiques du FLN ni par le GPRA. Ceux qui ont voulu et souhaité le départ des pieds noirs sont :1) Les putchistes agent francais, Ben bella, boumediene et bouteflika, dont la presence de la communauté francaise d’algerie aller gener leur etablissement d’une dictature de non droit.2) De gaule qui ne voulait pas qu’une communauté de souche europeenne puisse participer à un pays democratique pluraliste dont la chretienneté et l’islam puissent vivre en toute quiétude. 3) Israel, qui est à l’origine de l’OAS , et qui voulait toujours garder à son avantage le choc des civilation, qui allait devenir caduc avec la presence en toute quiétude de la communauté europeenne.4)Le complexe de superiorité de bon nombre d’entre eux qui trouvaient, inconcevable d’etre gouverné par des bougnoules, des melons et de surcroit des MUSULMANS quel sacrilége…..!Il qualifie les valeureux combattants du FLN DE ABANE ET BOUDIAF de terroristes,ils defend les harkis en negligeant les sentimments des algeriens, qui combattent toujours les harkis version 1992-2011.Pendant que le sous marin de la promotion lacoste se mettait en marche le jour ou larbi belkheir est arrivé à alger au lendemain de l’independance, les nouveaux maitres de l’algerie jouait au nationalisme anti francais et ces derniers faisait leur cinema en montrant un semblant d’irritation et de gene.11 janvier 92 le cinema s’est arrété, les projecteur se sont eteint, le drame peut commencer.
Il dit sans peur d’etre ridicule, quel rapport ont les algeriens avec les palestiniens…!D’accord, mais quel rapport a lui avec les juif falachas de l’ethiopie, les sionistes de la russie de la pologne, de la hongrie…. À PART LA HAINE DES MUSULMANS BIEN SUR .
Docteur Salah eddine
J’ai mille et une fois exprimé a travers LQA, la nécessité d’unir et réunir les forces du changement, ils sont nombreux dans l’opposition, qu’elle soit a l’intérieure ou dans l’exile.
Je voudrais comprendre pourquoi ce silence.
Les peuples qui ont compris comment changer leur destin, ont commencé par s’unir et se réunir.
Enfin les Syriens ont compris qu’il fallait OSER de surmonter peur et division.
http://www.aljazeera.net/NR/exeres/4935FE3A-3667-4000-A726-38DFE3468029.htm?GoogleStatID=9
Les jours du système Al assad, désormais sont comptés.
Ce n’est pas de l’opposition en Algérie qu’il s’agit mais celle qui est consciente de l’enjeu.
Voila ce que le peuple a pu endurer.
200 000 morts, 20 000 disparus, des milliers de déplacés, des centaines de milliers d’exilés, les généraux continuent a tuer sous prétexte de la lutte anti-terroriste, un président malade incapable de faire cesser le pillage des richesses, stopper la corruption financière, administrative et politique et de régler les problèmes sociaux des Algériens, propose des réformes. Comment un président intronisé par des généraux criminelles et corrompus, un président qui a violé une constitution pour prolonger ses mandats peut-il reformé un système pourris.
Pourquoi l’opposition laisse faire ces monstruosité .
Ecrire, dénoncer, s’opposer pour s’opposer ce n’est pas assez pour sauver un peuple sans défense, ceux qui devraient le faire ce sont les Algériens, les premier les opposants, les intellectuels puis le peuple.
Je vous prie, d’assumer vos responsabilité, unissez vous pour proposer une alternative au peuple, pour une sortie de crise, pour libérer le peuple de ces monstres qui nous consument jour après jour.
Je veux des réponses, pour quoi ce silence pour quoi cette passivité, indifférence.
Pendant 20 ans on nous faisait sortir la menace de l’intégrisme et du terrorisme pour ne pas exiger le démocratie. Maintenant, on nous rajoute une autre sauce faite de l’ONU et de Sarkozy pour que nous lecteurs de LQA, opposants etc on se trouve un autre issue de mensonge a nous même: il vaut mieux DRS-RND-FLN-Boutef que la liberté sous l’Otan.
Influençables et soumis que nous sommes, nous sommes devenus des jaloux et des hassadines des autres pays libérés.
L’OTAN a tiré sur le régime Libyen et non pas sur le peuple libyen, c’est Kadafi qui bombardait son peuple, c’est lui qui a fait appel indirectement a l’Otan, c’est les janvieristes aidés du DRS qui bombardaient le peuple algerien, c’est eux qui ont installé un Président corrompu, c’est eux qui ont ruiné l’Algérie et non pas l’Otan.
J’écris a @Wahid, a @Nedjma, a @Alilou @Jam @Karim, @Saad, @Afif et a tous les autres qui prônent union des forces.
Pourquoi attendez vous des partis vendus pour qu’ils fassent le travail de l’union?
Pourquoi ne faites vous pas l’union des forces avec tous ces personnages opposants depuis des dizaines d’années. Pourquoi n’agissez-vous pas dans les quartiers et avec vos connaissances pour parler de bouche a oreille de l’imminence de la révolte?
Les critiques et les vœux pieux ne nous avancent en rien.
@Afif, il y a presque un an on parlait vous et moi de la même chose ‘comment faire l’union a partir de nous ici du LQA’, je paris qu’on va encore parler de comment faire union avec les partis zaimiste dans 20 ans et on sera pas fatigué de reparler et de critiquer les autres peuples et les opposants qui risquent leur vie
Mais si on fait une journée de manif, on sera vite fatigué!
@HakimM
je vous félicite pour votre intervention éclairée, qui reflète, on ne peut plus, ce qui se passe dans notre for intérieur. Bravo!
Avant d’être sincère avec les autres, faut-il qu’on soit sincère avec nous mêmes.
Avec tous mes respects aux martyrs de la décennie noire-rouge, il ne faut pas se mentir à nous mêmes et comparer ces innocentes victimes rahimahoumou Allah, aux victimes des révolutions arabes actuelles, car la plupart des victimes algériennes sont mortes dans leurs foyers, passivement, en disant takhti rassi, et non pas en combattant dans la rue! Il ne faut pas se mentir à nous mêmes et se leurrer en comparant l’incomparable. Façon de répondre à ceux qui prétendent que nous avons déjà payé le tribut!
@HakimM :
El Watan Economie du 03/10/2011
23 ans après les émeutes d’Octobre 1988
Que reste-t-il du processus de réformes ?
Que reste-t- il du train de réformes lancées en réaction au soulèvement du 5 Octobre 1988 ? Très peu, sinon rien, de ce que les Algériens étaient en droit d’attendre en termes de rupture avec le système du parti unique, l’économie dirigée, les entreprises sous tutelle, le monopole syndical et la mainmise du pouvoir sur des médias exclusivement publics.
Que reste-t-il du train de réformes lancées en réaction au soulèvement du 5 Octobre 1988 ? Très peu, sinon rien, de ce que les Algériens étaient en droit d’attendre en termes de rupture avec le système du parti unique, l’économie dirigée, les entreprises sous tutelle, le monopole syndical et la mainmise du pouvoir sur des médias exclusivement publics.
Arrachées au forceps par une équipe restreinte d’hommes politiques et commis de l’Etat qui souhaitaient arrimer le pays sur la vague de démocratisation qui avait déjà atteint de nombreux pays du monde, les réformes de 1988 n’ont malheureusement pas tardé à se heurter à de fortes résistances de la part de certains cercles influents du pouvoir qui voyaient d’un mauvais œil les ouvertures concédées hormis, bien entendu, celle du commerce extérieur qui fera de bon nombre d’entre eux de puissants barons de l’import-export.
Les tirs croisés sur les réformateurs ont, en réalité, commencé dès la mise en œuvre des lois visant l’instauration d’une économie de marché au lieu et place du système rentier et bureaucratique qui avait longtemps prévalu dans l’Algérie socialiste.
La fin des entreprises monopolistes d’Etat, l’autonomie de gestion accordée aux banques et aux entreprises publiques ligotées par leurs tutelles ministérielles, l’octroi de la gestion financière et monétaire du pays à une Banque centrale autonome, la liberté de créer de nouveaux syndicats et partis politiques, le libre exercice du droit syndical et du devoir d’informer n’avaient, à l’évidence, pas de quoi réjouir les tenants du pacte social des années 1970 qui tiraient du système pseudo socialiste en place de nombreux privilèges.
Chasse aux réformateurs
Jamais écartés du pouvoir et, aujourd’hui encore, présents aux plus hauts sommets de l’Etat, de l’armée et de l’administration, ces acteurs ne cesseront de porter des coups de boutoir au processus de réformes qu’ils finiront par torpiller, au point où il n’en reste pratiquement plus rien aujourd’hui. Chacun des chefs de gouvernement désignés après le limogeage des initiateurs des réformes de 1988, Kasdi Merbah et Mouloud Hamrouche , semblait avoir pour mission de lézarder, si ce n’est carrément, remettre en cause les réformes qui dérangeaient le plus. S’ils avaient moins de latitude à le faire durant l’intermède des ajustements structurels où le FMI veillait au bon déroulement des réformes, ceux qui seront placés à la tête du gouvernement à la fin de cette période n’iront pas de main morte pour bloquer toute velléité de réformes, notamment celles allant à l’encontre du système rentier et bureaucratique sur lequel était assis leurs exorbitants pouvoirs et privilèges.
C’est ainsi que dès 1996 furent abrogées les lois sur l’autonomie des entreprises publiques économiques, les Fonds de participations furent dissous, tandis que la loi sur la monnaie et le crédit fut modifiée pour restituer les pouvoirs financiers et monétaires à l’Exécutif gouvernemental aujourd’hui maître de la rente pétrolière.
Des holdings publics avaient été créés à l’effet de privatiser sous l’autorité d’un Conseil autonome les entreprises publiques, mais ce dernier s’étant avéré trop indépendant et rétif à la cession des actifs publics juteux aux seuls pontes du régime, ces derniers seront rapidement dissous pour laisser place à des Sociétés de gestion de participation chargées d’effectuer ce sale boulot sur injonctions à peine voilées des autorités politiques en place. Le résultat des privatisations sera décevant et les conditions, pour le moins contestables dans lesquelles ont été effectuées certaines d’entre elles, rompront le consensus sur la vente des actifs publics qu’il a fallu interrompre pour ne pas exacerber les tensions entre les puissants prétendants à leur acquisition.
Bouteflika met fin aux acquis
L’arrivée de Abdelaziz Bouteflika au pouvoir en 1999 sonnera le glas des réformes de 1988 qu’il a toujours considérées, en tant que membre de la veille garde du FLN et nostalgique du contrat social des années Boumediene, comme la cause du malheur du pays et des désordres multiformes qui l’affectent. Le soulèvement d’Octobre 1988 n’étant pas à ses yeux un mouvement populaire, mais un événement provoqué par quelques cercles du pouvoir de l’époque, toutes les réformes qui en sont issues seraient, de son point de vue, suspectes et inappropriées aux réelles aspirations du peuple algérien.
A commencer par toutes ces «lois scélérates» qui ont accordé le droit de créer de nouveaux partis, des syndicats autonomes et des journaux indépendants. Il tentera de torpiller ces organisations en discréditant les partis politiques existants et en refusant d’agréer les nouveaux partis et associations qui en avaient exprimé la demande. Les syndicats autonomes ne seront pas reconnus officiellement et pour ceux qui l’avaient déjà été, les portes de la tripartite sont toujours fermées malgré leur grande capacité de mobilisation. La presse écrite, seule parmi les médias à avoir réussi à s’autonomiser du pouvoir, sera également sa cible.
Il utilisera, entre autres moyens, les tribunaux et la discrimination de l’accès à la manne publicitaire réservée, comme on le sait, aux seuls journaux gouvernementaux et à certains titres privés proches du pouvoir.
Ajouter à ce sombre tableau, le sort réservé aux entreprises privées qui avaient commencé à émerger à la faveur du processus d’ouverture d’octobre 1988. Abdelaziz Bouteflika les privera d’un avantage essentiel que les réformes de 1988 leur avaient accordé. Il s’agit de leur autonomie vis-à-vis du champ politique et de leur libre choix partisan aujourd’hui contraint à la clandestinité.
«Ce n’est aujourd’hui pas bon pour les affaires d’afficher un attachement partisan pour un autre parti que celui de l’Alliance présidentielle», nous affirme un chef d’entreprise privée sous le couvert de l’anonymat. Les patrons sont, en effet, désormais tenus de soutenir les candidatures de Bouteflika à de nouveaux postes présidentiels au risque de redressements fiscaux et autres ennuis judiciaires qu’il est, à l’évidence, facile de leur créer.
Leurs organisations, à l’instar du Forum des chefs d’entreprises et autres associations patronales joueront, on s’en souvient, magnifiquement ce rôle de soutien lorsque Bouteflika avait postulé pour un troisième mandat présidentiel.
Les révolutions, qui secouent le monde arabe et certaines contrées voisines du pays, auront-elles un effet sur ce processus de démantèlement des acquis d’octobre 1988, notamment sur ceux ayant trait à certaines libertés fondamentales, à l’instar de celle d’exercer des activités politiques, syndicales, entrepreneuriales et médiatiques autonomes ?
Si les textes législatifs en préparation (lois électorales, sur les partis, les médias et autres) indiquent bien que le pouvoir est inquiet des mouvements insurrectionnels qui affectent les dictatures arabes, il est, par contre, moins sûr qu’il légiférera sans arrière-pensée pour l’instauration d’une véritable démocratie. L’avènement d’un authentique modèle démocratique sonnerait en effet le glas du système en place et c’est précisément pour cela que l’Exécutif en place fera, à l’évidence, tout pour le retarder.
Nordine Grim
@hamid khouya, tu as certainement pu voir BHL à la télévision derrière Sarkozy lors de son discours de Tripoli quand il est venu libérer les arbabes. On a comme par hasard remarqué que les services de sécurité de Sarkozy ont tout fait pour que ce BHL disparaîssent de la prise de vue de la caméra. Je ne raconte pas d’histoire car beaucoup de téléspéctateurs ont remarqué le manège.
PS: je remercie, au passage, l’OTAN de n’avoir fait AUCUN MORT COLATERAL LYBIEN ni de dégat matériel collatéraux. Paraît-il ils ont fait du très bon boulot : ils ont même sorti de prison 10 000 missiles anti aériens et des lances rockette anti chars. Hamdoullah ya rebi, on va bien s’amuser et rire sur la scène du théâtre du maghreb et du Sahel !
après le début d’émeutes en Libye el guedafou a brulé sa tente et liberé son chameau pour dire au libyens voyant cher noble peuple vous ne voulez pas de moi .je pars avec un constat d’échec
je légue mon pouvoir à qui de droit.
je vous rends vos richesses que je vous ai confisqué je recouvre votre liberté
je mets fin a la carrière sportive de mon rejeton qui paie le FC Geneoa pour rester sur le banc de touche…quelle folie machiavelique
contrairement el kefa-fou a enclenché un plan diabolique pour exterminer son peuple si ce n’est pas l’otan le peuple libyen est exterminé………… l’avenir appartiendra a l’élite libyenne qui négociera son avenir politique et minéralogique avec respect et dignité
quant aux rat et ces semblables qui règnent dans l’Afrique et le tiers monde même leurs parrains ne veulent pas perdre la furie des peuples