A la fin de 1992, les services secrets Algérien dirigé par le général Mohamed Médiene dit Tewfik, pensent qu’il est temps de lâcher le monstre, la décision de créér le GIA, fût prise par les membres du cabinet noir dirigé par Belkheir , Tewfik charge le commandant Guettouchi et le capitaine Djaafar, deux officiers du service manipulation et infiltration de la DRS, de former le premier noyau du groupe islamique armé, comme en témoignera, quelques années plus tard, le colonel Habib Semraoui sur la chaîne arabe EL Jazeera, le premier escadron du GIA, voit donc le jour, à l’intérieur de la caserne de Dely Ibrahim. les communiques des service de sécurité imputent a Mansouri Meliani, la création du premier noyau du GIA, ce dernier sera exécute après une condamnation a mort, en 1993, par la cour spéciale d’Alger.
L’enfantement…
Au milieu de l’année suivante, ces même services, recensaient plus de 700 éléments armée dans les maquis. le monstre qu’ils ont crée a enfanté d’autres monstres, quand aux autres groupes islamique armées, ils ont étés crées par des dirigeants du parti dissous ou par des élus, poussés a prendre les armes et a employer la violence, le plus important en nombre et en armement est l’Armée Islamique du Salut ( AIS ) dirigé par Madani Mezrag, ces groupes ou « Katibat » étaient autonomes au début, et ne possédaient pas de direction, chaque groupe était dirigé par un émir, assisté par des lieutenants et la plupart ne dépassaient pas en nombre plus de 30 à 35 éléments.
Les services des généraux Tewfik et Smain, ont depuis la victoire du FIS dans les élections locales, infiltré les groupes armés pour contrôler les opérations de représailles et la violence qui s’en découlera, ils savaient que ces groupes composés en majorité par des islamistes convaincus et farouchement opposés au régime militaire, devaient être surveillés et contrôlés, surtout pendant les premiers mois qui ont suivi le putsch ou la situation sécuritaire et politique n’était pas encore contrôlée par les généraux putschistes.
le général Smain, fut chargé par ses supérieurs hiérarchiques, de choisir parmi l’élite des membres des corps de sécurité, des hommes pour infiltrer les groupes armés, les plus dangereux de l’époque, les maquisards dirigé par Abdelhak Layada, qui était considéré, comme le deuxième émir du « GIA » après Meliani. mais après quelques mois d’activité terroriste , en 1993, il fut arrêté au Maroc et extradé vers l’Algérie la même année, lors de l’enlèvement des trois fonctionnaires du consulat de France en Algérie, en octobre 1993. Son successeur a la tête du GIA , a exigé sa libération, afin de relâcher les ressortissants Francais, le commandant islamiste, fut abattu après quelques jours, et Layada restait en prison. Cette opération a été organisée, en réalité, par nos services secrets pour mobiliser l’opinion internationale en leur faveur et surtout la classe politique Française, qui se méfiait a l’époque du régime Algérien.
Des émirs désignés...
Les premiers groupes du GIA, étaient, comme, on l’ a rapporté plus haut, autonomes et n’obéissaient a aucun chef, c’est pour cela, que les premiers attentats et opérations terroriste perpétrés contre les membres des services de sécurité, étaient revendiqués par plusieurs groupes ou cellules, mais parfois, n’étaient pas revendiques du tout. Il n’y avait pas durant les premiers mois de la crise, une direction au GIA. L’absence de hiérarchie et de structure organisée, facilita l’infiltration des services de sécurité, parmi les groupe armés, jusqu’a la désignation de Si Ahmed Mourad alias Djafar el Afghani a la tête du GIA en Mai 1993. les premiers communiqués du groupe islamique armé paraissaient a Londres, dans les colonnes du quotidien arabophone El Hayat. le journal du GIA avait pour titre « El Ansar », était signé a l ‘époque par cette émir, le quotidien siégeant dans la capital Britannique, continue toujours, a publier les communiqués du GIA, qui sont en fait des communiques du DRS.
Le général Lamine Zeroual fut désigné ministre de la défense, pour remplacer le Général Nezzar,(1991 -1993 ) qui souffrait d’un cancer des intestins et qui a du prendre sa retraite, en Juillet 1993. Dès sa nomination, Zeroual entreprit des contacts dans le secret, avec les dirigeants du partie dissous, à la prison militaire de Blida, en septembre, il adresse une lettre signé de sa main, au chef du GIA, où il lui demande de proclamer la trêve générale et sans conditions, préalables a tout dialogue politique. C’est le cheikh Hocine Slimani, un religieux respecté par toutes les factions des groupes islamique et résidant a Médéa, qui joue le rôle d’ intermédiaire dans cette correspondance entre Djaffar El Afghani et le ministre de la défense.
Selon , Ali Benhajar le chef de la LIDD, ( la ligue islamique pour la dawaa et le djihad ) l’émir du GIA, demande a son tour, au général Zeroual, d’ordonner la libération des dirigeants du Front Islamique du Salut , Abassi Madani et Ali Benhadj. le 30 janvier 1994, Zeroual est nomme président de l’état Algérien suite a une conférence nationale, le 22 février, Abdelkader Boukhamkham et Ali Djedi, sont libérés de prison, les négociations entre la présidence, une fraction de l’armée et l’émir du GIA commence a porter ses fruits, mais c’était compter sans les Belkheir & Co pour lesquels une résolution pacifique du conflit et la fin du terrorisme, n’arrangait pas les affaires, eux qui vivent sur les retombées de la violence et de la guerre.
le 26 février 1994, le chef du GIA, est encerclé dans une maison dans les hauteurs d’Alger et abattu par les forces de sécurité, mais les contacts entre les deux parties partie continuent jusqu’a l’été 1994, entre les dirigeants du FIS libérés de la prison militaire de Blida et le président Zeroual, même si Cherif Gousmi qui a succédé a Djafar el Afghani a la tête du GIA, ne reconnaissait plus le rôle dirigeant du parti dissous, il souhaitait que les négociations se fassent directement avec son « majliss el Chourra » du groupe armé. quelques mois après, les contacts cessèrent sous les pressions des généraux qui menaient des opérations anti-terroristes dans les maquis contre les groupes armées. en juin 1994, Gousmi fut abattu, a son tour, par les services de sécurité dans une opération minutieusement préparée par les services secrets dirigé par Tewfik et Smain ou plusieurs chef et lieutenants de Gousmi furent abattus sauf un, le N°3 du GIA fraîchement débarque au maquis, un certain Djamel Zitouni, la nouvelle recrue de la DRS.
D’indic à Emir…
Djamel Zitouni, a été repéré, parmi les milliers de prisonniers incarcèrés dans les camps de détention du sud, en 1994, les agents de Smain l’ont pris en flagrant délit de pratique homosexuelle. Ils menacent de le balancer au niveau du centre de détention, a moins qu’il accepte de coopérer avec les services secrets. Djamel Zitouni, un jeune islamiste de 25 ans, commence sa carrière d’indics, en informant les agents de la DRS, après avoir infiltré les groupes armées dans la maquis, il grimpe rapidement les échelons de la hiérarchie et devient, en un temps record, l’un des lieutenants de l’émir du GIA, Cherif Gousmi.
l’année 1994, a vu une recrudescence sensible des attentats terroristes et des opérations armées des groupes islamique, les civils, qui ont étés jusqu’a lors épargné, deviennent des cibles privilégiés pour les GIA, le peuple Algérien ne comprend plus ce qui se passe. Pris en otage entre la répression aveugle et disproportionnée des forces de sécurité et les groupes armés islamique, qui s’attaquent désormais a la population.
En Juillet 1994, les services de sécurité, portaient un coup dur a la direction du GIA en réussissant a abattre dans une opération prépare des mois a l’avance, l’émir du GIA et plusieurs de ces proches lieutenants, parmi les rescapés de cette opération, ou l’armée a mis tous ces moyens, on retrouve, comme par hasard, le jeune Djamel Zitouni, le N°3 du GIA, le miraculé s’autoproclame, quelques jours plus tard, émir national du Groupe Islamique Armée et aucun lieutenant n’ose l’affronter.
C’était un coup de maître des services manipulation et infiltration, de la DRS, qui avaient réussi a placer, en quelques mois seulement, un de leurs agents a la tête du groupe islamique armé, le plus féroce et le plus sanglant, qu’a connu le pays. si jusqu’a ce jour les groupes armés au maquis, était infiltres par quelques hommes de Tewfik et Smain, a partir de l’été 1994, les services secrets algérien, avait la main mise totale sur les GIA en Algérie. Djamel Zitouni recevait ces ordres de l’agent traitant qui lui a été désigné, un certain colonel Tartagu, qui était sous les ordres direct de Smain Lamari, chef de la DCE ( Direction du contre espionnage ) et sous directeur de la DRS.
Terroriser les populations…
Le nouveau chef du GIA, au service de la junte militaire, décida de faire le ménage chez lui, il ordonna d’abattre tous les chef du maquis, pour les remplacer par les hommes du service opérationnel de la DRS, il appliqua sans discuter, la stratégie des généraux : terroriser les populations par une violence aveugle pour faire baisser un rideau de plomb sur l’Algérie, et faire regner la terreur et la peu dans le coeur des Algériens les directives que recevait Djamel Zitouni était clair : imposer par la terreur. Le dictat des groupe armés, dans cette esprit, l’émir du GIA rendait licite, en Décembre 1994, part une fatwa spéciale, le sang des civils hommes, femmes et enfants sur tout le territoire, sous le prétexte que les Algériens soutiennent le pouvoir en place, les Algériens se retrouvaient tout a coup pris en étau entre les compagnes d’exactions et de répression des forces de sécurité d’un côté et les incursions meurtriers des éléments du G.I.A, de l’autre. Des milliers de civils furent égorgés, mutilés ou abattus par balles par les groupes islamiques armés ou par les membres des services de sécurité du COLAS ( Centre opérationnelle de la lutte anti-subversifs ) dirigé par le général major Mohamed LAMARI.
Le GIA en France !
Pour les généraux maffieux et criminels, la guerre contre le terrorisme, doit être exportée en France, pour des raisons évidentes: obtenir le soutien des dirigeants français. Ils voulaient faire impliquer la société française et particulièrement la classe politique française dans leur lutte contre le phénomène du terrorisme islamiste. En effet, si l’intégrisme islamiste menace tout le monde, un front international s’érigera contre cette menace, c’est dans cette objectif, qu’une opération préparée par Ali touchent, un autre agent islamiste au services de la DRS et exécuté, officiellement par le GIA de Zitouni, a été menée le 3 Août 1994, a la cité Ain Allah à Alger ou cinq gendarmes Français ont trouvé la mort.
le 26 Décembre 1994, un Avion d’Air France, a son bord 232 passagers, est pris en otage par un commando du GIA, sur le tarmac de l’aéroport Houari Boumediene, deux français et un vietnamien furent exécutés par les islamistes armée, avant que le groupe d’intervention français le G.I.G.N., prennent d’assaut l’Airbus d’Air France à Marseille et mettent fin a la prise d’otage, en abattant les quatre membres du commando, ce fût, la première et la dernière prise d’otage d’un avion dans un aéroport Algérien.
les Français, sont projetés de plein fouet dans le quotidien tragique Algérien, ils se sentent maintenant impliqués dans le drame qui se déroule de l’autre côté de la rive méditerranée, malgré cette vague d’attentats qui touchent les intérêts français et attribué aux islamistes, des intellectuels et des hommes de culture Français, se lèvent pour crier haut et fort, leur condamnation, des méthodes inhumaines et sauvages employés par le régime militaire au pouvoir en Algérie, ils désapprouvèrent les conditions inhumaines de détention dans les camps du sud et le non respect du pouvoir algérien des droit de l’homme. La société française a condamné l’emploi excessif de la force contre les islamistes, même si les hommes politique français, hypocrites et opportunistes dans leur majorité, soutenaient le régime des généraux putschistes. Les décideurs, non satisfait de la réaction de la société Française, décident de frapper fort en plein capital de l’hexagone.
le 11 Juillet 1995 : l’imam Sahraoui, de la mosquée de Paris, un des anciens dirigeant du FIS et exilé en France, est mitraillé dans une rue de Paris, le 25 juillet, une bombe explose dans une rame du RER à la Station St Michèle; en pleine capitale. Le bilan est lourd, 8 morts et plus de 150 blessés. Puis, ce fut l’attentat du RER à la station Musée d’Orsay, ensuite l’attentat raté contre le TGV Lyon -Paris en enfin l’attentat de la station maison- Blanche. La vague d’attaques durera jusqu’au mois d’octobre. Les attentas furent revendiqués des la fin du mois de juillet par le GIA, mais la DST ( Département du Surveillance du Territoire ) charge de l’enquête, sentait la manipulation et l’implication des services secrets Algériens, même si ces dernier proposèrent leur aide a leur homologues français.
Les enquêteurs de la DST et la DGSE ( Direction Générale de la Sécurité Extérieure ) identifièrent Boualem Bensaîd et Smain Ait Ali Belkacem Abdesslam comme les poseurs de bombe de la station St Michel et Ali Touchent comme le cerveau des attentats, mais ce dernier, se trouvait en Algérie et il était également recherche par les autorités de ce pays.
Après une chasse l’homme, qui dura presque trois mois,, les gendarme français ont réussi a démanteler le reste de la cellule terroriste, au mois d’octobre, en abattant Kamel Kalkal, le dernier membre du groupe envoyé par le chef du GIA pour commettre les attentas de Paris. les services secrets Francais, qui n’avaient pas de doute sur l’implication directe de la DRS, dans cette vague d’attentats, ont dès les premiers jours compris le message envoyé par Alger. Les généraux « insistaient » sur le soutien de Matignon à leur régime, sinon, il auront à déplorer d’autres victimes françaises. Mmoins d’une année plus tard, sept moines du monastère de « Tibhirine » dans la wilaya de Medéa (a 80 Klm au sud d’ALger ) furent enlevés, séquestrés puis décapités par un groupe armé. L’opération fut revendiquée, bien entendu, par l’émir du GIA, Djamel Zitouni.
Le peuple algérien pris en tenailles entre le DRS…et le DRS
Les généraux harkis et mafieux, forts du soutien de la France et de ses alliées, intensifièrent les opérations de répression envers les populations civiles et à sympathie islamiste. Les algériens ne comprennent plus ce qui leur arrive, malmenés d’un côte par les groupes islamiques armés et de l’autre par les forces de sécurité, le cauchemar algérien venait de commencer.
entre 1993 et 1997, plus de 100 000 morts, la plupart parmi les population civiles, des enfants, des femmes des vieillards, sans distinction d’âge ou de sexe, sans parler des milliers de disparus enlevés par les forces de sécurité. le GIA frappait partout dans les villes ( les attentats aux voitures piéges ) mais aussi dans les villages et les hameaux ( incursion terroristes, embuscades, routes et terrain miné ), c’était les années obscures et sanglantes du terrorisme en Algérie, le carnage se déroulait, aux nez et a la barbe de l’Europe, dont les état membres, soutenaient le régime militaire d’Alger.
I.S
16 comments
Khaled et non kamel kelkal.
Le premier communiqué du GIA est la revendication de l’assassinat de Kasdi Merbah…..,suivez mon regard.
L’ainsi désigné GIA au singulier n’existe pas. Il y’a des GIA, au pluriel, crées, instrumentalisés et manipulés par le DRS. C’était le Général Smain LAMARI qui s’était chargé de cette sale et criminelle besogne, secondé par une cohorte d’Officiers supérieurs de la dite Police secrète d’Etat.
Les fameux tracts de revendication d’attentats ou meurtres, portant le sigle GIA sont écrits par des plumitifs du DRS. Les investigations faites à Londres par le redoutable Scotland Yard: le Carnet d’un activiste présumé portait des adresses téléphoniques des Officiers traitants, résidants en Algérie. Certains numéros renvoient à des casernes. The Observer, The Guardian avaient traité cette information…
En France, les RG avaient identifié le numéro de Fax d’un envoi de texte revendicatif au nom des/du GIA : c’est celui des Services de l’Attaché militaire, lié au DRS, à l’Ambassade.
Nous avons déjà une abondante littérature sur le sujet. Le Colonel Samraoui, Le Lieutenant Souaidia, les Officiers du MAOL, et j’en passe. Mais du coté de la presse ou ce qui est appelé l’Opposition, la parole relève du raricisme extrême, s’agissant des sujets aussi sensibles.
Il faut faire appel à tous les Officiers en exil, aux journalistes courageux pour qu’ils nous livrent leurs précieux témoignages, réflexions et essais.
Ce qui avait prévalu durant ces années 90, c’était une «Stratégie de la tension» fomentée par un groupe de Généraux, à leurs tètes les Maitres du DRS. Une Stratégie de la tension du genre de ce qu’a connu l’Amérique latine et méridionale dans les années 60 et 70, avec les Dictateurs Vidéla, Stroessner, Pinochet, etc. sous le patronage de l’Oncle Sam à Washington…..
Le commandant Guettouchi, originaire de Sétif et un sanguinaire notoire, a été « liquidé » au cours d’une opération anti-terroriste à Télemly.
ça n’a pas changé:il y a la mort physique mais aussi et surtout la mort morale et matérielle
Que reste-t-il aujourd’hui de ce pays ? l’éducation,la santé, l’enseignement supérieur?
Que reste-t-il de ce beau pays? saleté,corruption,violence,misère ,harga ,hogra et d’autres fléaux inexistants dans les dictionnaires
Salam
Je me rappelle lors de la fabrication de ce monstre dit GIA, on lisait dans la presse, le ministere de l’interieur a mis dans les godasses une troupe nommée GIA Groupe d’intervention Armé , qui fit allusion a un groupe composé de policier et militaire ( ça je l’avais bien lu et on était tous soulagé du fait que ca va nous aider a respirer un air non terrorisé . Au fil du temps il s’avère que Le GIA est devenu Groupe Islamic Armé . désinformation nourri de manipulation ,la religion au service de la politique au profit de la mafia , pour ne pas donner aucune chance au peuple de prendre sa destiné en main.
Et puis les affaires qui se signent pendant que l’algerien surveille sa peau.
Assalamo Aleikoum
En 1995 (verification de la date et correction ce jour même sur ce qui vas suivre)un article est apparu dans le journal LE MONDE en France dénonçant le GIA aux mains de la Sécurité Militaire , et appelant les Officiers et Sous-Officiers Algeriens à la desertion ,afin de combatre la dictature des Généraux
Cet appel était signé UNION DES OFFICIERS MUSULMANS ALGERIENS LIBRES .
Quand au journal « AL ANSAR » nous avons plusieurs exemplaires de ce journal en notre possession , certains de ces journaux ont été mis en lieu sûr auprès de journalistes de confiance , afin que le jour voulu ,dans une Algerie Démocratique , toutes les preuves des manipulations et surtout les complicités de certains politiques Français soir dévoilés a l’opinion publique
Nous donnerons plus de details et de precisions dans la journée
Pour ne pas mourir idiot, il faut savoir que c’est le grand maitre franc-macon F. Mitterrand, ultra-sioniste caché et anti-algerien notoire, qui a ordonné le coup d’état de 1992 et que ce sont les services secrets sionistes francais qui ont inventé la tactique d’infiltration des GIA, tactique déja largement utilisée durant l’insurrection de 1954-1962.
Les « généraux » n’ont été et ne restent que des exécutants. Enfin pour etre plus précis, les francais en sont que des lamentables serviteur et autres exécutants de la politique concue et mise en oeuvre par les faux juifs Khazars: ROTHSCHILD bien avant 1830 qui sont les maitres suprêmes de la franc-maconnerie mondiale qui avait détruit après l’Algérie l’empire ottoman,soit l’islam politique.
Déterminer qui est le véritable ennemi est fondamental et c’est maintenant que les nouvelles générations d’algériens et de militaires commencent progressivement a comprendre ce qui s’est passé dans notre pays ,mais le processus est long.
Il n’y a aucune ambiguité dans toutes ces manipulations, mais dites moi, il n’y aurait pas eu de patte jamais on aurait cuit le de pain et la patte etait la creation du parti dissous FIS et le DRS n’a fait qu’utiliser la patte et cuir le pain…et le peuple a prit plein la gueule…cristal clear…
Est-ce que des pleintes contre ces manipulateurs et assassins designés ont ete deposées dans un quelconque tribunal? est-ce que partie civil a ete constituée? ou bien attendons-nous le MESSI ????
@Mohamed YAHIAOUI
est-ce que vous parlez du MAOL ou d’un autre groupe?
(Mouvement Algerien des Officiers libres)
autrement pourquoi « musulmans » ? y-a-t-il des officiers algeriens qui soient juifs ou chretiens ou athees ou boudhistes ou agnostics?
On jouant sur l’islamisme on continuera toujours a faire le jeu de ceux qui sont les responsables de la descente aux abbysses…laissons l’ISLAM de coté et arretons de le meler a toutes les sauces.
Chronique des années de sang!
Durant cette période (années 90), il y’avait des Algériens qui soutenaient le pouvoir, d’autres proches des islamistes, d’autres taxés de laico- assimilationnistes et d’autres encore qui n’étaient avec personne. Une guerre faisait rage entre tous ces protagonistes pour lesquels tous les coups étaient permis en de telles circonstances.
Aujourd’hui, peut-on parler de gagnant et de perdant ? peut-être, mais dans ce cas de figure, cela ne peut-être que conjoncturel pour les uns et les autres. Sinon, Tout le monde est perdant dans cette affaire puisque que c’est tout le pays qui est affecté.
»Quand deux petites armées se font la guerre, c’est une grande armée qui se suicide »-citation-
Assalamo Aleikoum
Suite à mon commentaire de ce matin , j’apporte des precisions au sujet de l’article paru dans le journal LE MONDE , en date du 17 octobre 1995 , DES OFFICIERS ALGERIENS APPELLENT A LA DESERTION
« Nous lançons un appel à chaque Officier, à chaque Sous-Officier , à chaque engagé ou appelé pour qu’ils rejoignent les rangs de l’Armée Islamique du Salut et deviennent des djounouds (soldats) d’ALLAH .
Cette organisation ,inconnue jusqu’à ce jour , mais qui serait composée de militaires d’active ,appelle au déclenchement d'(( une vaste Intifada ,sur tout le territoire ,afin d’inciter une vaste faction de l’armée à rejoindre le peuple …)) elle dénonce (( les règlements de compte camouflés)) au sein de l’armée,(( les exécutions sommaires de centaines de civils ,)) (( la torture érigée en véritable institution )) et les méfaits de la Sécurité Militaire, qui (( a fabriqué ses propres GIA))
Article signé par le journaliste Ali HABIB
En ce qui concerne le journal AL ANSAR du 24/08/1995
Nous voyons de suite qu’il est très bien rédigé en Arabe, avec en première page , un hadith du Prophète(Salutations et Bénediction sur lui)et une adresse en deuxième page M.A BOX 3027
13603 HANINGE SWEDEN (Suede)
Ces journaux du GIA distribués en Europe,on été dénoncé par tous les élements du FIS ,qui mettait en garde leurs sympathisants contre cette campagne d’intoxication.
En effet le Journaliste Anglais du journal THE OBSERVER , Robert FISK dévoilera après une enquête approfondie sur ces distributeurs du journal AL ANSAR à Londres , que l’Egyptien ABOU HAMZA QUI RECEPTIONNAIT CES JOURNAUX, était en réalité le porte-parole du GIA ,et qu’il recevait ses directives depuis la caserne de la Sécurité Militaire de BEN AKNOUN.(Communications detectées par le contre-espionnage Anglais le MI5)
Il faut reconnaître que la guerre psychologique menée par les Généraux Mohamed MEDIENNE et Smain LAMARI, prenait une ampleur internationale, le journal AL ANSAR était rédigé sous la direction du Colonel Hadj ZOUBER , devait par les déclarations du GIA dans ce journal , faire paniquer l’opinion publique Française et Européenne.
Cette campagne de desinformation a réussie pendant un certain temps, puisque tout le monde croyait dur comme fer , que le GIA ,groupe Islamique sanguinaire , était la branche armée du FIS .c’est ce qui explique la haine de l’Islamisme politique parmi une large frange de la population Française , surtout après les attentats de Paris et de Lyon , le massacre des étrangers en Algerie, et l’horrible assassinat des 7 moines de TIBHIRINE.
Heureusement que le temoignage du lieutenant Habib SOUAIDIA dans son livre « LA SALE GUERRE » ,ensuite le livre de Nesroullah YOUSS « Qui a tué à BENTALHA? »
suivi du livre du Colonel Mohamed SAMRAOUI , »Chronique des années de sang » et pour finir les témoignages de Jean-Baptiste RIVOIRE , et de Lounis AGGOUN dans leur livre « Crimes et mensonges d’Etat » de le « France-Algerie » sont venus apporter des eclaircissements et la vérité sur le GIA made in DRS .
Le Gouvernement Français ,la DST , la DGSE , étaient très bien informés , aussi bien sur le GIA , que sur les promoteurs du journal AL ANSAR .
La complicité entre PASQUA et les Généraux du DRS était totale ,dans tous les domaines de la manipulation du terrorisme .
Les centaines d’arrestation au sein de l’armée ,et la liquidation de plusieurs Officiers et Sous-Officiers d’active par la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée ,s’explique certainement par les appels de l’UNION DES OFFICIERS MUSULMANS LIBRES , qui devaient circuler dans diverses casernes .
Toute la lumière sur la tragedie du Peuple Algerien sera faite le jour ou la Démocratie s’installera dans notre pays , jeter la concorde civile dans les poubelles de l’histoire , et préparer les dossiers d’inculpation auprès du Tribunal Penal International
INCHALLAH
@Mohammed YAHIAOUI
Bonjour, cher compatriote,
« Les centaines d’arrestation au sein de l’armée ,et la liquidation de plusieurs Officiers et Sous-Officiers d’active par la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée ,s’explique certainement par les appels de l’UNION DES OFFICIERS MUSULMANS LIBRES , qui devaient circuler dans diverses casernes . »
Je vous avoue que si j’avais été un militaire, j’aurais été choqué par le nom de cette organisation ( UNION DES OFFICIERS MUSULMANS LIBRES ). Pourquoi MUSULMANS?
D’autre part, il faut quand même souligner le fait que les militants du FIS eux-mêmes ont été victimes de cette opération d’intoxication et étaient convaincus qu’El Ansar était l’organe des «moudjahidine».
Aucun livre n’a été publié à ce jour par un militant du FIS pour apporter son témoignage et aider à la manifestation de la vérité.
La décision de déclencher la lutte armée a manifestement eu des conséquences que les dirigeants du FIS n’avaient pas prévues. De plus, ils n’ont pas été en mesure de gérer la situation. Le résultat en a été une infiltration à grande échelle par le DRS et le massacre de populations civiles innocentes.
Cordialement
L histoire n oublie jamais,la verite trouvera toujours son chemin vers la surface,comme l eau souterraine qui un jour defilera dans une riviere.le mensonge,la traitrise,la manpulation dont sont experts nos truands/gouvernants est pratique courante,mais l histoire se souviendra du general/diplome de l ecole superieur de l assasinat tewfik,belkhir,smain et la liste est longue…Oui messieurs les tout puissants votre jours viendra et vous tomberez tous,la memoire d un peuple meurtri se souviendra de vous,vous poursuivra ou que vous allez,et vous ramenera devant les barreaux de la justice ou vous croupirez comme des rats que vous etes le reste de votre lamentable vie.
On se souviendra…
Mes felecitations a l auter de l article I.S.
La plume tue aussi surement qu une balle:propos de bouteflika.Il ne pensait pas si bien dire…