Djazia B.
M.Bouteflika a grandi au sein d’un Pouvoir QUI SE VEUT totalitaire n’acceptant ni institutions d’Etat ni Société civile ne laissant aucune parcelle fut elle insignifiante à un contre pouvoir, contre pouvoir signifiant pour lui contre le pouvoir donc un ennemi qu’il faut vite abattre. Le politique , l’économique , le social , le culturel sont soumis à la seule et unique volonté du Pouvoir, composé de quelques hommes.
Le FLN structuré en appareil était un organisme chargé d’ « encadrer » le peuple au seul bénéfice du pouvoir au même titre qu’une police parallèle .
Les uns acceptèrent ce « boulot » par habitude de servilité et quelquefois par fascination du Pouvoir, certains ont jugé que c’est la bonne voie à la promotion rapide , d’autres y entrèrent pour défendre leurs intérêts .Il y a eu certainement des gens sincères qui croyaient que le système était perfectible de l’intérieur. Ceux là ont progressivement déchanté et ont été écarté parfois de manière violente.
Les motivations du « nidhal »sus citées ont façonné l’appareil de façon à satisfaire uniquement le Pouvoir par calcul et non le peuple qui ne peut ni influer sur la configuration du Parti ni sur les personnes qui seront DESIGNES pour le représenter.
DONC LES ENJEUX N’ONT JAMAIS OPPOSE POUVOIR PEUPLE MAIS NOMENCLATURA DU PARTI-POUVOIR .Le peuple étant OUT.
Tout au long de ce demi siècle , à bien analyser , Pouvoir et Parti FLN nous jouent une partie de poker menteur à 2 qui a été élargi à plusieurs (RND, Hamas , PT ) pour pimenter le jeu.
Comment un « militant » houspillé il n’y a pas si longtemps par les hautes instances du parti se retrouve président de ce même parti CONTRE SON GRE ?
Comment le secrétaire général du parti appuie son 4ème mandat pour démentir quelques semaines plus tard ?Et comble de l’ubuesque se porter candidat à sa place !!!!
Comment les réformes d’un président du parti, IMPOSé à son corps défendant (avant et après l’accession à la présidence du parti , il a dit clairement qu’il n’appartient A AUCUN PARTI) par les hautes instances de ce même parti voit ses réformes taillées en pièces avant même de passer à l’APN ?Non pas cette fois par servilité du pouvoir mais pour replacer leurs enjeux , la roulette (baccara) risque de devenir roulette russe, les temps ont changé plus vite qu’ils ne pensent.
Comment se fait il que la nomenclatura du parti FLN (et d’autres partis) grenouille au rythme du bulletin médical « journalistique » du président ?Alors que leur ALIBI pour un « tahalouf riassi » atypique et monstrueux était LA STABILITE du pays.
Il est grand temps d’arrêter le massacre et que chacun regagne sa place naturelle et PLUS UTILE OU MOINS NUISIBLE POUR LA SOCIETE .qui dans une ferme qui dans une usine (s’il en reste) qui dans une zaouia (là il y a de la place vu le nombre florissant) qui en retraite et qu’ils laissent la jeunesse prendre son destin en main tranquillement et sereinement AVANT QUE CE NE SOIT TROP TARD .
19 comments
Juste une remarque sur la photo : merci au photographe de nous avoir épargné le visage manquant, encore plus hideux que les autres : celui de Boujerra Soltani.
ils ont faconne l’Algerie a leurs gueules:HIDEUSE,LAIDE ET CRISPEE.
« il a dit clairement qu’il n’appartient A AUCUN PARTI »
mais c’est normal, c’est les partis qui lui appartiennent !!!!
un « tahalouf riassi » ?? c’est quoi ça ?? un tahalouf des haloufs !!!
Prochain coup fourré de ces 12 salaupards + Amnistie generale des terroristes apres celles des generaux criminels doublés des terroristes en cravates qui nous servent de ministres & Co
Bled mickey wel bresiden Pokemon
A MON AVIS CE N EST PAS JUSTE DE DIRE QU IL Y A UNE CLASSE POLITIQUE EN ALGERIE. IL Y A DES CLANS DE BANDITS QUI PARTACENT LE GATEAUX EN TENANT LE PEUPL A L ECART EN LE REDUISANT A DES ESCLAVES QUI N ONT PAS LE DROIT DE DIRE LEUR MOT’CE QU IL PENSE)TOUT CE DEROULE DANS UN CERCLE FERME ET A HUIT CLOS. LE PEUPLE N A MEME PAS UN PETIT DE DROIT DE REGARD.LE MAINTENIEN DE BOUTEFLIKA MALGRES UN TAT DE SANTE FLAGRANT ET UN MEPRIS ET UNE INSULTE AU PEUPLE ALGERIEN.POURQUOI IL NE DEMISSIONNE PAS?JE PENSE QUE BOUTEFLIKA ET LUI MEME OTAGE DU DRS.LA FIN DE BOUTEFLIKA SIGNIFIE LA FIN DE CE SERVICE DE CRIMINELS QUI EST LE DRS.
Bonjour,
Instrument de destruction du systéme colonial,le F.L.N,a dépassé son objectif en voulant construire l’Algérie post-62 . Né dans la douleur en 54, aprés l’échec d’une solution politique à la colonisation de l’Algérie,le F.L.N qui est né dans la clandestinité, s’est rapidement fait remarquer par son culte de l’intrigue,le complot et le secret . Infantilisant le peuple dés 54,le F.L.N,a rapidement imposé une vision totalitaire et parfois sanguinaire . Sans idéologie politique,il emprunta un coctel idéologique aux oulamas de Benbadis et aux communistes soviétiques . Cinquante ans aprés l’indépendance,ce parti qui est à l’origine en grande partie de l’échec algérien,continue d’infantiliser les algériens tout en les marginalisants .
La montagne accouche d’une souris !
A lire le communiqué du Conseil des ministres sur l’avant projet de loi sur les associations apolitiques dans le cadre des réformes engagées par le pouvoir, on constate non seulement un recul par rapport à la loi 90/31 du 04/12/1990, pis encore une arnaque.
L’avant projet de loi fait cas « d’obligation faite à l’administration de se prononcer dans un délai de trois mois sur la demande d’agrément d’une association, le silence valant agrément automatique et tout refus d’agrément ouvrant droit au recours devant la juridiction administrative ». Or la loi en vigueur édicte dans son article 7 : « l’association est régulièrement constituée, passé le délai de soixante (60) jours après le dépôt du dossier. L’article 8 de la même loi permet à l’autorité compétente de saisir, si elle estime que l’association est contraire aux dispositions de la dite loi, huit jours avant la fin du délai, la chambre administrative de la cour territorialement compétente… ». Ce n’est même pas un quiproquo. D’une administration qui introduit le recours auprès de la chambre administrative, on inverse les rôles. On tolère aux associations le droit au recours… !
Les nouvelles dispositions en la matière annoncent que toute association agréée ouvre droit à des subventions. Elles n’apportent rien de nouveau dans la mouture proposée aux débats à l’APN. Mieux, ce problème de subventions existe plus pour aliéner les associations à l’administration, aux partis de l’exécutif que d’aider ces structures civiques et civiles à fonctionner, à assumer les objectifs qu’elles se sont assignés.
De plus, les articles 4 et 5 de la loi en vigueur exprime, on ne peut mieux, ce qu’on peut attendre de membres d’une association sans recourir et/ou user d’atteinte à la personne telles qu’annoncé dans le communiqué du Conseil des ministres : « les associations seront tenues de satisfaire à un certain nombre d’obligations universelles, notamment la probité de leurs dirigeants, ainsi que la transparence dans leur gestion, particulièrement financière, le respect de leurs statuts, y compris en ce qui concerne leur propre domaine d’activité et le respect de la constitution et de la législation en vigueur, ainsi que de l’ordre public ». La loi en vigueur déjà rébarbative et n’incitant guère le citoyen à participer à la vie de la cité, contraint les associations par son arsenal de dispositions à rendre compte périodiquement aux structures administratives concernées, la wilaya ou le ministre de l’intérieur sans porter de jugements sur ses membres si ce n’est jouir de ses droits civils et civiques, tout en étant de nationalité algérienne.
Des associations connues pour être des bides des pouvoirs successifs en place crient à l’aliénation des associations. C’est l’hôpital qui se moque de la charité !
La pratique de la vie associative nous a mis en face de situations qu’on peut qualifier de subversives. Des personnes en situations d’impostures, de faux et usages de faux, épaulés par des membres de l’exécutif festoient dans la Capitale au nom d’une association. Ces personnes vont jusqu’à signer un contrat avec une entreprise internationale dans un hôtel de renom en présence de représentants de l’administration au nom de l’association et avec un faux cachet. Bizarrement nos plaintes disparaissent ! Dans ce même désordre administratif, nous avons eu à nous élever contre un président d’association, fraichement reconnu par l’administration alors qu’il venait de sortir de prison pour soutien au terrorisme, pour ses atteintes à ses élèves… On pourrait citer ce directeur de CEM qui pour défendre son collègue et ami accusé d’atteinte aux mœurs par ses élèves n’a rien trouvé de mieux à faire que de traduire cinq adolescentes et un gosse devant le juge d’instruction d’El-Harrach. Un directeur qui fut bien évidemment promu à un autre poste…
La loi 90/31 du 04/12/1990 énoncée dans le cadre des réformes politiques d’octobre 88, en remplacement de la loi 87-15 du 21 juillet 1987, a été pervertie notamment cette dernière décennie. Elle n’a pas été respectée mais instrumentalisée par l’administration au profit du pouvoir. Le statut-type imposé aux associations dans la wilaya d’Alger est une remise en cause pour ne pas dire une violation de la loi 90/31 qui érige par son article 22 l’assemblée générale comme seul organe souverain alors que son article 15 interdit à toute autre personne morale ou physique de s’ingérer dans le fonctionnement d’une ’association. Non content de ces dépassements illégaux, l’administration a, en décentralisant la gestion des associations locales sur les circonscriptions administratives, recouru à d’autres mesures draconiennes pour dissuader tout élan de civisme. Les entraves et les lourdeurs bureaucratiques dignes des services d’inquisition sont le lot inévitable aux personnes qui voudraient créer ou activer dans une association.
M. Salah Amer-yahia
Président-fondateur de l’Union des parents d’élèves de la wilaya d’Alger
Il manque aussi le visage de celle qui par décence je tais à quoi elle ressemble ,tellement abjecte :Khalida Toumi la préposée à l’inculture !
@Alilou
Je suis sur qu’en parlant de generaux criminels vous savez ce que vous dites.De terroristes en cravates j’en suis sur egalement.Mais quand vous insinuez par terroriste,un islamiste arme ,la je suis archi-sur que vous n’en n’avez jamais.
Alors parlant de ce que nous avons vu et vecu nous meme,pas ce que les medias de la junte des salaupards nous a inculque des 1992.
cordialement.
@Alilou
Je voulais dire: Vous n’en n’avez jamais vu.
« les associations seront tenues de satisfaire à un certain nombre d’obligations universelles, notamment la probité de leurs dirigeants, ainsi que la transparence dans leur gestion, particulièrement financière, le respect de leurs statuts, y compris en ce qui concerne leur propre domaine d’activité et le respect de la constitution et de la législation en vigueur, ainsi que de l’ordre public » !!!!!!!!!!!!!!
Faites ce que je dis, mais ne faites jamais ce que je fais !
« … directeur de CEM qui pour défendre son collègue et ami accusé d’atteinte aux mœurs par ses élèves … Un directeur qui fut bien évidemment promu à un autre poste… » !!!!!
atteinte aux mœurs et le directeur est toujours en VIE ??? ne pas mourir pour la démocratie, ne pas mourir pour son estomac……mais ne pas mourir pour l’honneur !!! alors là !!alors là ! c’est désespérant !
Dans son arrêt définitif du 8 août 1983, la Cour des comptes donnait son verdict : « M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué à des fins frauduleuses une opération non conforme aux dispositions légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code pénal. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour des comptes évaluait à « plus de 6 milliards de centimes » (l’équivalent de 100 milliards de centimes actuels) le montant dont Bouteflika restait redevable auprès du Trésor.
«Agissant alors en qualité de ministre des Affaires étrangères, M. Abdelaziz Bouteflika avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires, par instructions n° 20 du 14 février 1966, n° 33 du 1er décembre 1966, n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 :
en 1966, de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ;
en 1967, d’ouvrir des comptes particuliers devant abriter ces disponibilités ;
en 1969, enfin, de procéder au transfert des reliquats disponibles vers deux comptes bancaires ouverts auprès de la Société des banques suisses, les reliquats des exercices ultérieurs devant désormais avoir la même destination. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour observait que « le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du Trésor ».
Depuis la mort de Boumediène ,être condamné par ses pairs est un atout maître pour devenir le chef suprême de ceux qui , démocratiquement ,vous ont exclu .Valable même dans la « sociéte civile » et on veut chercher , à travers la nouvelle loi sur les associations à mettre des gens honnêtes à leurs têtes.chose totalement impossible!
Une autre version KADHAFI, EN ALGÉRIE .
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Crise : On achève bien les pêcheurs
El Watan, 30 septembre 2011
Plus de 200 dossiers transmis à la justice pour non-paiement et des bateaux saisis à Tipasa, Boumerdès et Cherchell. Un ministre qui reconnaît que rien ne va plus, accusant la raréfaction des ressources halieutiques. Les millions injectés par l’Etat dans la pêche depuis dix ans n’ont servi à rien. Car si les pêcheurs n’arrivent plus à pêcher et à rembourser leurs crédits, c’est parce que le secteur est gangrené par la corruption et les mauvaises pratiques.
Engloutis. Depuis le début des années 2000, l’Etat alloue des milliards de dollars au secteur de la pêche. Sans résultat, puisque Abdallah Khanafou, ministre de la Pêche, a reconnu, à la mi-septembre, que la production nationale avait chuté de 20% depuis 2009, imputant par ailleurs le recul de la ressource à l’arrêt de 50% de la flottille dans certains ports. Signe extrême de la crise que traverse le secteur, la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) vient de saisir une vingtaine d’embarcations à Tipasa, Boumerdès et Cherchell, et a transmis quelque 200 dossiers à la justice pour des impayés. Acculés, les armateurs ne savent plus vers qui se tourner.
«L’aide de l’Etat a été accordée à des personnes qui n’avaient rien à voir avec le monde de la mer, déplore un vieux pêcheur. C’est là qu’a commencé notre malheur. De nouveaux armateurs friqués, qui entretenaient de solides relations avec quelques cadres du ministère de la Pêche, ont rapidement investi les ports, avec arrogance, en se fichant de nos coutumes et mettant en péril la faune et la flore, que nous avons toujours respectées depuis notre enfance.» Malgré le plan de relance économique, la pêche n’a pas refait surface. Au fil des ans, l’utilisation des explosifs, la surexploitation des fonds marins, le développement de la pollution du littoral, le dégazage des navires au large de la côte algérienne, l’irrespect du repos biologique par les pêcheurs, la multiplication des rejets des eaux usées, le braconnage des espèces marines, qui n’ont pas atteint les dimensions recommandées pour leur commercialisation, ont eu raison d’une bonne partie du stock halieutique.
En parallèle, l’Etat continuait à accorder des avis favorables pour l’importation de navires (Espagne, France, Italie, Turquie et Tunisie). Pendant ce temps, les ports de pêche algériens sont devenus trop exigus pour abriter l’arrivée massive de la flotte et des épaves importées en devises.
Navires abandonnés
Plus grave : des armateurs véreux ont abandonné dans des ports leurs navires importés après avoir délesté leurs propres embarcations de leurs équipements électrico-mécaniques, matériels électroniques et hélices. L’Entreprise de gestion des ports n’arrive pas à faire aboutir au niveau des tribunaux les plaintes contre ces personnes qui abandonnent leurs navires ainsi. L’Ecorep, opérateur public dans le secteur de la pêche qui devait être le bénéficiaire de ce plan de relance économique, a disparu. Ses infrastructures ont été cédées à la Marine nationale par l’Etat, tandis que son personnel a été mis au chômage. Il était aussi question de créer des pêcheries qui répondent aux normes pour mieux canaliser le cheminement du poisson depuis le débarquement du navire jusqu’au consommateur. Il n’en fut rien.
«L’Etat s’est contenté de promesses qui n’ont pas été tenues. Les statistiques de production de poisson communiquées par le ministère sont totalement fausses», assure un pêcheur. Toujours en septembre, le ministre a expliqué que la production a atteint 78 000 tonnes en 2010 en baisse de 20% par rapport à 2009. Depuis deux ans, les marins pêcheurs, eux, revendiquent l’effacement de leurs dettes au même titre que les agriculteurs.
M’hamed Houaoura
Abbou Mohamed.Cherchell : «Le ministère de la Pêche nous méprise»
Mon vœu le plus cher est de voir venir les décideurs du ministère de la Pêche sur mon navire pour qu’ils s’imprègnent des conditions dans lesquelles nous exerçons notre métier ! Qui a profité de la générosité de l’Etat ?
Notre embarcation et ses équipements sont usés par trente années de travail. Nous faisons face à plusieurs pannes, nous devons ramener des pièces de l’étranger, faire des démarches pour obtenir un visa, nos marins sont mis au chômage et n’ont aucune ressource pour subvenir aux besoins vitaux de leurs familles. Quand tout fonctionne bien sur notre navire, nous travaillons seulement trois jours dans la semaine. Nous travaillons avec un vieux système de pêche, nous n’avons même pas les toilettes dans notre vieille embarcation ! Quand un marin veut faire ses besoins, il doit se plier à une gymnastique trop risquée pour sa vie. L’Etat a accordé des milliards à des gens pour importer des navires avec l’intention d’encourager la pêche au large.
Le président de la République s’était engagé à renouveler les navires de la pêche côtière. Aujourd’hui, ces mêmes navires importés disposent de documents complètement trafiqués grâce à la complicité de l’administration. La puissance de leurs moteurs a été divisée par deux pour leur permettre d’exercer sur les côtes. Or, c’est interdit par la loi, mais il n’y pas de contrôle de la part du ministère. J’ai personnellement soulevé ces problèmes lors des rencontres avec les responsables. Rien n’a changé…
Assalamo Aleikoum
Le général MEDIENNE ,prepare la candidature de OUYAHIA à la presidence dès que BOUTEFLIKA sera devenu totalement indisponible.
Il faut savoir que OUYAHIA est Colonel (en reserve ) du DRS est qu’il est le protégé de MEDIENNE.
Ce qui est triste c’est que demain il y aura des elections trafiquées pour faire elire OUYAHIA , et que de nombreux Algeriens irons voter , surtout les immigrés en France qui sont pour une bonne partie des hypocrites ,(surtout ceux de ma génération) à chaque election , je suis dégouté par le nombre de BENI OUI qui font la queue dès le matin pour aller voter
Dommage cette régression de notre pays à cause des généraux qui ont rompu le processus électoral. Nous avons régressé d’une histoire en arrière. Boudiaf (Allah yerahmou) avait déjà installé le CNT. Avez vous remarqué que les peuples arabes qui se sont révoltés passent par cette Institution. Hélas chez aucune lueur pour former un CNT et forcer le pouvoir, devant les instances internationales, à céder la place aux jeunes générations de notre pays. Ya Allah reradj 3alina.
On aurait pu avoir la démocratie du temps de Boudiaf, du temps de Chadli, du temps de Zeroual, mais pas du temps de Bouteflika affamé d’argent et de pouvoir, même au prix de laisser les assassins gérer le pays avec lui.
Le problème encore une fois est la démission des universitaires, de l’élite, des hommes intégrés et la soumission d’une frange énorme du peuple.
Ne pas aller voter n’est pas la solution, il faut imposer un choix de consensus entre le FIS(modéré), le FFS, et les autres partis democrates et islamistes intègres.
Nous ne faisons rien qui efface ces visage de mafia de notre mémoire.
Les syriens font des actions, les libyens et les Bahreini aussi, mais nous rien!
Même les gens de LQA font plus écrire qu’agir.
Le maintien ou pas de l’article 93 de la loi électorale soumise actuellement au Parlement déterminera clairement le vainqueur du bras de fer demi centenaire entre la nomenclatura FLN , responsable de la grande partie des catastrophes multidimensionnelles de notre pays et de M.Abdelaziz Bouteflika, diplomate intelligent et retors mais qui a toujours fait montre d’une incapacité désespérante à « trancher » sur des questions VITALES.
Les grands hommes politiques qu’a connu l’Histoire se sont convertis à certaines occasions historiques en « chirurgiens » salvateurs pour la cause nationale BIEN COMPRISE.
Beaucoup qui ressassent depuis 11 ans « nous sommes avec le Président » ressemblent à ceux qui ont encensé des décennies durant M.Gaddhafi pour se retrouver membre du CNT libyen.Les plus conscients de leur traitrise se justifient : « Gaddhafi dominait tout , il est SEUL responsable , nous n’avions aucun pouvoir ».
un peuple malhonnete est gouverné par un pouvoir malhonnete. C’est une regle universelle